It is during our darkest moments that we must focus to see the light

Mwen se echantiyon yon ras kap boujonnen men ki poko donnen

Si vous voulez vous faire des ennemis essayer de changer les choses

Wednesday, January 31, 2007

HAITI: SCANDALE SOCABANK: TROUVE POUR VOUS SUR l'INTERNET

EVOLUTION DU SCANDALE SOCABANK /SENAT
QUELLE EST LA PROCHAINE ETAPE
?
ETAPE No 1
Scandale au Parlement Haïtien : le PDG de Haïtel, Franck Ciné,
a distribué des pots de vin à des parlementaires, selon le sénateur Gabriel Fortuné
Des pressions sur le PDG de Haïtel pour qu'il en donne davantage
lundi 29 janvier 2007,
Radio Kiskeya
Le sénateur Gabriel Fortuné (Sud, Union) a repris avec encore plus d'assurance lundi les déclarations qu'il a faites samedi sur les pots de vin reçus par certains de ses pairs pour le vote d'une résolution jeudi soir exigeant l'annulation de toutes les mesures prises par la Banque de la République d'Haïti (BRH) concernant la Société Caribéenne de Banque S.A. (SOCABANK).
Selon Fortuné, c'est le PDG de la firme de téléphonie mobile Haïtel, M. Franck Ciné, actionnaire de la SOCABANK, qui a « arrosé » les parlementaires. Fortuné s'est toutefois gardé (pour le moment, dit-il), de fixer le montant total des sommes versées et la répartition qui en a été faite. Par contre, tous les 16 sénateurs qui ont voté la résolution ne sont pas compromis dans cette « sordide affaire », a-t-il ajouté.
« Insatisfaits du montant reçu, certains d'entre ces parlementaires ont tenté d'exercer des pressions sur M. Ciné pour en obtenir davantage », a fait savoir Fortuné qui promet de déballer davantage de données, prochainement.

Le sénateur de la Grande Anse, Michel Clérié (Fusion), a tenu pour sa part à préciser ce lundi que lui et le sénateur Evelyne Chéron (Lavalas) n'ont pas voté ladite résolution. Il estime que l'opportunité du vote de celle-ci n'était pas prouvée vu que le sénat est en deuil depuis le décès tragique dans un accident de la route (le samedi 20 janvier) du deuxième sénateur de l'Artibonite, Noel Emmanuel Limage. Aucune séance ne devait alors se tenir et pourquoi celle-ci autour de l'affaire BRH/SOCABANK, s'est interrogé le sénateur Clérié..
Le premier sénateur de l'Artibonite, Youri Latortue qui, lui, a voté la résolution, a semblé vouloir jouer la carte de la modération en refusant d'opiner avant une rencontre entre les sénateurs autour des « révélations » de leur collègue Fortuné

ETAPE No 2
SENAT D’HAITI : 200,000 DOLLARS AMERICAINS POUR LE VOTE DE LA RESOLUTION SOCABANK
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Selon des sources au parlement un homme d'affaires Haïtien dans le domaine des télécommunications a verse US$200,000 dollars américains à un groupe de sénateurs de la république pour voter la résolution SOCABANK. Les Sénateurs les plus influents auraient reçus chacun US$20,000 dollars américains alors que les autres ayant vote la résolution auraient reçus entre 2 et 5000 dollars américains. Avant sa mort le sénateur Noel Emmanuel Limage a révélé les détails et les offres faites aux sénateurs de la république. Le sénateur Limage avait refuse de participer a cette sale affaire. Limage aurait rendu public les noms des cinq sénateurs ayant coordonne cette affaire. Chaque sénateur de la coordination a reçu la somme de vingt mille dollars américains

La résolution SOCABANK n'a pas été mise en discussion et a été vote dans le noir puisqu'il n'y avait pas d'électricité au parlement lors du vote. Un sénateur Lavalas a téléphone immédiatement à l'homme d'affaires en question après le vote de la résolution pour réclamer un paiement additionnel. Seize sénateurs ont vote la résolution, quatre d'entre eux n'ont pas reçu de pots de vin.

Cet homme d'affaires ayant paye les pots de vin, un lavalassien, doit des sommes énormes aux Etats Unis. Il doit aussi de l'argent en Haïti particulièrement à la TELECO, la SOCABANK et la banque Nationale. Cet homme d'affaires, selon une source bancaire, veut empêcher l'indépendance de la SOCABANK qui conduirait à une révélation publique de ses dettes et le fiasco de sa gestion. Haïti déjà considéré le pays le plus corrompu du monde doit bien géré cette affaire. Ce scandale financier aura des impacts politiques et économiques sur Haïti si les coupables ne sont pas poursuivis par la justice.

ETAPE No 3
CONFIRMATION DES NOMS DES SENATEURS QUI ONT RECU DE L'ARGENT POUR VOTER LA RESOLUTION SOCABANK ---------------
Senateur Kely Bastien: Vingt cinq mille dollars americains
Senateur Rudy Heriveaux: Vingt cinq mille dollars americains
Senateur Lambert: Vingt mille dollars americains
Senateur Beauplan: Vingt mille dollars americains
Senateur Semephise: Cinq mille dollars americains
Senateur Wilbert: Cinq mille dollars americains
Senateur Kompere: Cinq mille dollars americains
Senateur Hyppolite: Cinq mille dollars americains
Senateur Ricard: A recu cinq mille dollars americains mais ne s'est pas presente pour le vote. Le senateur Limage avant sa mort a fait des revelations graves sur cette affaire. Il aurait meme recu des menaces suites aux revelations.
N.B. Un senateur de plus a recu vignt mille dollars americains, nous essayons de confirmer son nom et plusieurs autres ont recu cinq mille dollars americains. Nous recherchons les noms

Les senateurs qui ne sont pas meles au scandale et ont refuse les offres
Senateur Cheron
Senateur Clerie
Senateur Pierre-Louis
Senateur Beauzile
Senateur Riche
Senateur Fortune
L'enquete se poursuit.....

Selon Me Joël Petit-Homme Banque centrale aurait débloqué la somme de 12 Millions de gourdes pour acheter l’absence d’un certain sénateur le jour du vote. Il annonce des poursuites contre toutes personnes et institutions qui sont impliqués dans ce qu’il qualifie d’acte illégal.

ETAPE No 4 -----------------
ACTION PUBLIQUE EN MOUVEMENT?
Commissaire du gouvernement ? Action des Sénateurs Crédibles pour Punir les Coupables?

ETAPE No 5 encore des revelations
FALSIFICATION DESDOSSIERS BRH vs SOCABANK ---------
Argumentaire

(La vérité entre parenthèses)

La confiscation de la Socabank par la BRH s’est faite selon les étapes suivantes :

Jusqu’en 2002, la Socabank, en tant que troisième banque du système bancaire en termes de dépôts, était la banque qui accordait le plus de crédits à l’économie. Les petits commerçants et entrepreneurs qui constituent sa clientèle ont été victimes des troubles qui ont agité le pays en 2003 et 2004. La BRH va profiter de cette nouvelle conjoncture pour se livrer à une attaque en règle contre la Socabank pour la détruire.

(La vérité est : la Socabank était la troisième banque (et non la première) en crédit et devait cette place à des manipulations comptables comme la capitalisation d’intérêts sur prêts improductifs. En outre, 60% des prêts allaient aux administrateurs, à leurs parents et aux actionnaires de la Socabank et non aux petits commerçants. En outre, au moins 30% des 40% restants du portefeuille représentaient des prêts à des prête-noms proches de certains anciens administrateurs. Aucun des prêts de la Socabank n’était inférieur à $1 million (dollars américains) !)

Suite à une inspection générale, la BRH avait exigé à la Socabank des besoins de fonds propres de l’ordre de 25 millions de gourdes. Trois ans plus tard, cette même Banque Centrale, suite à sa dernière inspection en date du 30 juin 2005, a imposé des besoins de fonds propres de l’ordre de 2 milliards de gourdes, soit 80 fois le montant initial.

(La vérité est : suite à une inspection générale en juin 2002, la BRH, comme autorité légale de surveillance et de supervision, avait exigé des provisions additionnelles pour pertes sur prêts totalisant G265 millions. La banque centrale consentit à réduire ce montant à G20 millions suite à des promesses d’évènements positifs en faveur de Socabank. Une inspection subséquente révéla plutôt l’aggravation de la situation de la banque, en raison surtout de combines absolument sans aucun rapport avec la situation socio-politique, qui aurait affecté tout le système et non pas seulement la Socabank. Le trou de G265 millions s’élargit à G1.2 milliard puis à G1.6 milliard à provisionner, comme le reconnaît M. Alain Meslet, Directeur Général de la Socabank (Voir « Le Nouvelliste » du 30 décembre 2006).
Comme les fonds propres de la Socabank avoisinaient G350 millions à ce moment-là (nonobstant les artifices comptables), le capital de la banque était négatif de G1250 millions. Dans ce contexte, le fait par la BRH d’offrir G50 pour une action dont la valeur est négative représente un bonus aux anciens actionnaires responsables de la banqueroute de la banque. Les bailleurs de fonds d’Haiti de la communauté internationale ont reproché cette largesse de la BRH à des banquiers qui, selon eux, devraient être plutôt traduits en justice.)

Une première solution proposée par la Socabank a été rejetée par la BRH. La Socabank a présenté un plan de restructuration à la BRH, incluant un apport financier des actionnaires, qui a été rejeté en août 2005.

(La vérité est : entre août 2005 et avril 2006, seulement deux actionnaires (sur 200) ont apporté G55 millions pendant que les provisions requises totalisaient G400 millions. Les administrateurs-actionnaires clamaient leur pauvreté et leur incapacité de trouver un partenaire pour renflouer la banque. En fait, ils étaient tellement sûrs de la disparition prochaine de la Socabank qu’ils fermaient leurs comptes de dépôts pour les ouvrir ailleurs.)

Une deuxième solution proposée par la Socabank a été encore rejetée par la BRH. La Socabank sollicite de la BRH un prêt de 600 millions de gourdes pour une période de 10 ans garanti par les biens immobilisés hors exploitation dont elle dispose dans son patrimoine. Cette démarche de la Socabank est rejetée par la BRH en octobre 2005.

(La vérité est : une banque centrale accorde des prêts de trésorerie aux institutions financières et non des prêts destinés à résoudre des problèmes de solvabilité. La mauvaise gestion de l’argent des déposants par la Socabank a entraîné des pertes supérieures à G1.5 milliard et, par conséquent, a exclu cette banque du marché du crédit. Dans ce contexte, tout concours financier de la BRH à la Socabank – de G600 ou de G600 millions- (sous la gestion des dirigeants d’alors) serait irresponsable.)

Une troisième solution proposée par la Socabank a aussi été rejetée par la BRH. La Socabank a trouvé la collaboration de la ABI Bank pour un apport en capital et en gestion afin qu’elle ait une santé financière et un accord a été signé entre les deux institutions en date du 13 janvier 2006. Ce plan a été rejeté à nouveau par la BRH le 27 janvier 2006.

(La vérité est : la Socabank avait trouvé la collaboration de la ABI Bank pour un apport en gestion et non en capital. La BRH s’est opposée à cet apport en gestion parce que, extrêmement onéreux, ce contrat de gestion aurait aggravé la situation de la Socabank.)

La BRH décide de bloquer la vente de la Socatransfer à la ABI Bank Ltd. par correspondance en date du 20 mars 2006. Trois mois plus tard, la ABI Bank achetait la Socatransfer à un prix inférieur à celui qui avait été arrêté avec la Socabank, soit une différence de deux millions de dollars US.

(La vérité est : la Socatransfer faisait face à des problèmes de gestion particulièrement sérieux. Les pertes s’élevaient à G10 millions en 2002, à G56.4 millions en 2003 et à G6.6 millions en 2004. Cette saignée engloutit en 2004 le capital de la firme qui devint négatif de G19.4 millions (sans compter les dépenses de G13.5 millions engagées par la Socabank pour le compte de la Socatransfer. Les activités de la Socatransfer couvraient trois sites : Montréal, (Canada), les états du New-Jersey et de la Floride aux Etats-Unis et la ville de Provo aux Iles Turques. Ces sites étaient gérés de manière désinvolte par des individus –en fait des « caciques », absolument indépendants de la Socabank qui payait les transferts en Haiti mais ne recevait guère les fonds de l’étranger.
Une évaluation financière de cette firme est un casse-tête ; la rareté des documents comptables rendait impossible la vérification externe des états financiers. La plus récente évaluation comptable du capital (d’ailleurs très contestable), par M. Gérard H.P. Joseph, l’estimait à $4.1 millions. La Socatransfer est une société de participation créée en octobre 2000 à Miami sous le nom de « Caribbean United Transfer Companies, Inc. ». Initialement possédée à 90% par la Socabank (le reste appartenant à la Cofinord), elle devint la propriété entière de la Société Caraibéenne de Banque (Socabank) en avril 2005. En mars 2006, elle décida de céder 51% des titres de la Socatransfer à la ABI Bank de St-John-Antigua & Barbuda, après avoir reçu une valeur de $1 million en novembre 2005. Jusqu’à présent, personne à la Socabank n’a cru bon de demander la différence puisque 51% de $4.1 millions donne $2.1 millions et non $1 million. En outre, dans les dossiers de la Socabank et de la Socatransfer, il n’existe aucun engagement écrit de la ABI Bank pour l’achat du reste du capital de la maison de transferts. Puisque la Socatransfer perdait de l’argent comme la Socabank, la BRH estimait qu’il y a lieu de se concentrer sur la seconde et d’utiliser les revenus de la vente de la filiale pour renflouer la maison mère. Aussi, elle recommanda à la Socabank d’accepter une offre de $3.5 millions de la ABI Bank (y compris le premier million de novembre 2005) pour la totalité du capital de Socatransfer d’autant plus rapidement que cette maison de transfert perdait pied à Provo, aux Iles Turques, avec l’arrivée de la CAM Transfer et de la Unitransfert.

Dans sa lettre du 20 mars 2006, la BRH n’a pas « bloqué la vente » de la Socatransfer mais a plutôt invité la Socabank à renégocier la transaction parce que :
(i) la ABI Bank, une institution financière étrangère, n’avait pas présenté l’autorisation de son autorité de régulation et supervision pour l’acquisition d’actifs en dehors de la juridiction de l’Eastern Caribbean Central Bank. Une mesure élémentaire de précaution en ces temps de blanchiment d’argent sale.
(ii) tel que négocié, le contrat de vente n’apportait rien aux fonds propres de la Socabank)

La BRH refuse de recevoir le représentant de la ABI Bank qui séjourne en Haïti du 15 mars au 13 avril 2006 afin de répondre aux objections formulées par la BRH.

(La vérité est : la BRH n’a jamais eu à fermer ses portes au représentant de la ABI Bank ni à aucun représentant honnête d’institution financière sérieuse. Peut-être, dans ce cas, le représentant de cette banque est mieux placé pour répondre sur ce point.)

Suite à une réunion tenue en date du 7 avril 2006, entre les représentants de la Socabank et de la BRH, cette dernière a imposé à la Socabank la tenue d’une assemblée générale extraordinaire en vue d’augmenter le capital de 500 millions à 2 milliards de gourdes. Ceci est consigné au premier point du procès-verbal de la dite réunion. Cette augmentation de capital a été votée le 27 avril 2006.

(La vérité est : une assemblée générale antérieure au 7 avril 2006 avait déjà porté le nombre des actions en circulation à un million dont 574,551 non encore souscrites ou libérées. Ce sont ces actions que la BRH a achetées. Les statuts de la Socabank n’obligent pas le président du Conseil d’administration à convoquer une assemblée d’actionnaires pour vendre des actions déjà émises.)

En violant les lois bancaires, la BRH a décidé le lendemain 28 avril 2006 d’obliger le président du Conseil d’Administration de la Socabank, président qu’elle a elle-même imposé, à accepter la dévaluation du prix des actions de 500 gourdes à 50 gourdes et de refuser que les actionnaires achètent ces actions au prix de 50 gourdes, conformément aux statuts réglementant le fonctionnement de cette institution. Cette démarche a obligé la Socabank à effectué une nouvelle augmentation de capital car le prix de l’action fixé par la BRH à 50 gourdes au lieu des 500 gourdes votés par l’Assemblée générale extraordinaire n’a pas permis d’atteindre les deux milliards voulus.

(La vérité est : (a) le président du Conseil d’administration de la Socabank en avril 2006, M. Patrick Vieux, avait été élu librement par ses amis que furent les anciens administrateurs. Comme PDG, il était autorisé à prendre toute décision en faveur de la banque au non du Conseil d’administration. (b) il y a une différence entre la valeur nominale d’une action, c’est-à-dire, le prix pour lequel l’action a été émise, et la valeur comptable de l’action, c’est-à-dire, le prix aux livres du titre ou encore le quotient des fonds propres par le nombre d’actions en circulation. Ainsi, la valeur nominale du titre Socabank est de G500 mais, comme les fonds propres de la banque étaient négatifs, la valeur comptable du titre ne pouvait être positive. Dans ce dernier cas, comme la situation de la banque est catastrophique, la valeur marchande de l’action est inférieure à sa valeur nominale. Afin de protéger le système bancaire, la BRH accepta d’acheter ces actions à G50 l’unité, un prix jugé trop élevé par les actionnaires qui, d’août 2005 à avril 2006, ne les avaient pas souscrits malgré l’insistance de la BRH.

Par acte en date du 5 décembre 2006, en dépit des protestations des actionnaires et des parlementaires, la BRH a décidé de transférer les actions prises illégalement à la BNC.

Sur la prise de contrôle par la BRH et le protocole d’Accord signé entre la BRH et la BNC

A) Sur la Convention signée par M. Patrick Vieux, président installé sur exigence de la Banque Centrale et M. Raymond Magloire, Gouverneur de la BRH.

Suivant les dispositions de l’article 34 des statuts de la Socabank en son paragraphe D, seul le Conseil d’Administration a le droit de signer une Convention ou d’autoriser par résolution le Président à la signer. En l’espèce, aucune résolution n’a été prise par le Conseil d’Administration autorisant M. Patrick Vieux à signer cette Convention.
La Convention signée le 28 avril 2006, soit moins de 24 heures après la tenue de l’Assemblée du 27 avril, par M. Vieux prévoit la vente des actions à 50 gourdes. Or, l’Assemblée Générale Extraordinaire du 27 avril 2006, par résolution numéro deux, a fixé le prix de l’action à 500 gourdes. Aucune instance, même le Conseil d’Administration, ne peut changer une décision votée par l’Assemblée générale extraordinaire. (Article 27 des statuts portant sur les pouvoirs de l’Assemblée Générale).
L’Article 27 en son paragraphe D des statuts prévoit qu’au cas où une décision devrait être prise pour transférer la moitié des actions à une autre entité, seule l’Assemblée Générale Extraordinaire peut ordonner une telle transaction. En l’espèce, et en violation flagrante de cet article, M. Patrick Vieux a décidé de transférer à la BRH plus de la moitié des actions de la société.

(La vérité est : la convention est régulière. Autrement, il y aurait protestation un ou deux jours après la signature. Tel n’a pas été le cas.)

B) Sur le Protocole d’Accord signé entre la BRH et la BNC

La BRH n’a aucune qualité pour devenir actionnaire dans une banque privée vu son statut de régulateur et la loi du 17 août 1979 portant création de la Banque Centrale, fixe en son article 2 les attributions de celle-ci. D’ailleurs la BRH elle-même a reconnu dans le Protocole d’Accord signé avec la BNC en date du 5 décembre 2006 qu’elle est dans une situation de conflits d’intérêts (considérant numéro 4).
La BRH a, dans ce protocole d’Accord signé le 5 décembre 2006, décidé d’accorder à la BNC des prêts et des dérogations spéciales lors même qu’elle les avait préalablement refusés à la Socabank (voir articles 2 et 6 du Protocole). Donc c’est une démarche totalement discriminatoire dans le système.
La BRH a ainsi reconnu que le problème de la Socabank n’était pas un problème insoluble et pourrait être résolu par une action dynamique de recouvrement (considérants 11 et 12 du Protocole d’Accord BRH/BNC). Il s’en suit donc que l’intervention de la BRH au sein de la Socabank est disproportionnée par rapport aux problèmes réels confrontés par la Socabank qui auraient pu être résolus d’une autre manière.

(La vérité est : la BRH peut intervenir dans le système bancaire en cas de défectuosité des règles du marché, pour la protection des intérêts des déposants, la préservation de la concurrence et la sauvegarde du système des paiements. Aucune loi n’interdit à la BRH de prendre part au capital d’une banque à des fins de redressement pendant une période déterminée. La Banque Nationale de Crédit (BNC) et la Banque Populaire Haitienne (BPH) ont fait ou font encore l’objet de participation de la part de la BRH. Les interventions de ce genre ne résultent pas d’une volonté délibérée de la banque centrale mais sont dictées par des nécessités ponctuelles et sont toujours provisoires.)

Conclusions et Recommandations


En fonction de l’argumentaire et des points présentés ci-dessus, les mesures suivantes devraient être prises :

Annulation de la Convention illégale signée entre M. Patrick Vieux et la BRH et conséquemment le renvoi des Conseils d’Administration de la BRH et de la Socabank pour les actes illégaux et arbitraires qu’ils ont commis.
Formation d’un nouveau Conseil d’Administration de la Socabank dont le profil des membres sera arrêté en accord avec les nouveaux dirigeants de la BRH
Signature d’un protocole d’accord, dans le strict respect de la loi et des exigences réglementaires, entre le nouveau Conseil de la BRH et celui de la Socabank sur les débentures et autres facilités à accorder à cette institution pour lui permettre de satisfaire aux normes prudentielles et aux exigences légales et réglementaires en matière de liquidité.

(La vérité est : après leur gestion scandaleuse et criminelle des avoirs bancaires des déposants, les anciens dirigeants de la Socabank demandent, en substance, le droit de nommer à la BRH un Conseil d’administration totalement soumis à leurs fantaisies financières et disposé non seulement à fermer les yeux sur les multiples malversations constatées depuis des années à la Socabank mais encore à mettre à leur disposition les ressources publiques comme un découvert sans limite. La morale élémentaire interdit de prêter les précieuses ressources du Trésor public à une poignée d’individus qui ont littéralement pillé les petits et gros déposants d’une banque et qui, normalement, devraient être derrière les barreaux, s’il existait une bonne législation sur la faillite frauduleuse. Ce serait « throwing good money after bad », comme disent les Américains. Si un Conseil d’Administration de la BRH et/ou un Parlement et/ou un Gouvernement devaient emprunter cette voie, qu’adviendrait-il de la République ? Quelle confiance mériterait un tel Etat ?)


Conclusion

Puisque, contrairement à ce que pensent les anciens administrateurs de la Socabank, le public :
(a) n’est pas sot et
(b) a droit à la vérité,
il est temps d’éliminer les parenthèses de leur argumentaire.


Socabankplus
En 2004-2005…

(a) Le groupe H/C Téléphone bénéficiait de plus de G850 millions de crédit sans garantie en violation des règlements de la BRH qui n’autorisaient que G30 millions au maximum.
(b) Une entreprise dénommée « Société de Promotion Immobilière » (SPI) appartenant à deux ressortissants martiniquais, Yvenel Agéna et Emile Soira, obtient un prêt de $2.5 millions (américains). Les « Martiniquais » étaient en fait le chauffeur et l’un des gardes du corps du PDG de la Socabank qui avait monté de toutes pièces la SPI.
(c) En janvier 2004, la Socabank signe un contrat avec la firme « E&B Consulting », propriété du PDG, pour la fourniture de conseils de gestion au PDG. La banque paie le président de la banque pour conseiller le président de la banque. Et ce, pour $3000 (américains) le mois.
(d) Le PDG emprunte $1.5 million (américains) pour la construction d’un hôtel à Jacmel avec un délai de grâce de 12 mois de capital. La totalité du prêt est décaissée avant même la construction de l’immeuble.
(e) Location mensuelle de $13500 (américains) (prix hors marché) entre la femme du PDG et l’une des filiales de la Socabank. L’immeuble loué a été financé en partie, et sans intérêt, par la Socabank.
(f) La Socabank achète 500 actions d’une entreprise apparentée de téléphonie à raison de $1000 dollars (américains) l’action alors que la valeur nominale du titre est de G250 et que sa valeur marchande est de $380 dollars (américains). Les deux administrateurs de la banque, auteurs de ce « deal », ont donc perdu délibérément et cyniquement $620 dollars (américains) par action donc volé $310000 dollars (américains) à une banque qu’ils avaient pour devoir de protéger.

Les parlementaires le savent et ont gardé le silence. Pourquoi ? Pourquoi ?

Sunday, January 28, 2007

HAITI: Will this picture damage Haitians standing living abroad? - Est-ce que cette photo affectera la crédibilité des Haïtiens a l’étranger ?

ENGLISH
Will this picture damage Haitians standing living abroad?
How does this picture of Rene Preval with Ahmadinejad of Iran advance the interests of Haiti? What message is he sending – especially in light of the Haitian terrorists found in Miami? Why would he forge this relationship? In short, what is so funny? The responsibility of a leader who does not have the means to carry out his policies is to be able to smartly defend the interests of its people and avoid anything that can prevent him from succeeding. The international scene is not easy. Preval knows it. In some corners of the world, including the US in fact, such picture with a sponsor of terrorism like Ahmadinejad can affect not only Preval but also every single Haitian. This is something I care about deeply. This picture is not good for Haitians everywhere. The implication of the picture – the friendly tone of the picture – implies support. This is the fact.

FRANCAIS
Est-ce que cette photo affectera la crédibilité des Haïtiens a l’étranger ?
Comment cette photo de René Préval avec Ahmadinejad de l’Iran avance-t-elle les intérêts d’Haïti ? Quel est le message de Preval ? – particulièrement après les accusations de Miami ou des Haïtiens sont accuses de terroristes ? Pourquoi recherche-t-il ce genre de relations ? Brièvement, qu’est ce qui est si amusant ? La responsabilité d’un leader qui n’a pas les moyens d’exécuter ses politiques est de défendre avec intelligence les intérêts de son peuple et éviter tout ce qui peut l’empêcher de réussir. Préval le sait. Dans certaines régions du monde, inclut les Etats-Unis, cette photo avec un supporter du terrorisme international comme Ahmadinejad peut avoir des effets négatifs non seulement sur Préval mais aussi sur chaque citoyen Haïtien. C’est quelque chose a laquelle j’accorde beaucoup d’importance. Cette photo n’est pas bonne pour les Haïtiens à travers le monde. La photo – l’expression joyeuse de la photo – traduit un support. Haïti a tellement de dossiers importants à gérer, pourquoi ce genre de provocations gratuites? Nos hommes politiques doivent être plus responsable, ils ne sont plus des jeunes étudiants rêveurs sur un campus universitaire, ils représentent plus de huit millions d’Haïtiens. Leurs actions ont des consequences.

Rene Preval - Ahmadinejad - Evo Morales

Thursday, January 25, 2007

Haiti: Menaces contre Cyrus Sibert et Radio Kontak Inter 94.9

Menaces contre Cyrus Sibert et Radio Kontak Inter 94.9
Cyrus Sibert, Cap-Haïtien, Haïti
http://www2.blogger.com/ym/Compose?To=reseaucitadelle@yahoo.fr
Ce mardi 23 janvier 2007, vers 10 heures 35, un confrère de la presse parlée m’a appelé pour me signaler qu’un sit-in organisé par les candidats du Cartel Lavalas à la mairie de la ville du Cap-Haïtien est transformé en tribunal pour condamner Cyrus Sibert à mort et ordonner la destruction de sa résidence et la Radio Kontak Inter, 94.9 FM, la station de Radio sur laquelle je présente mes émissions d’analyses de l’actualité. Ce mercredi 24 janvier 2007 des affiches anonymes circulent en vue d’intimider des personnalités et citoyens de la ville du Cap-Haïtien ; le nom de Radio Kontak Inter y est mentionné.

Faut-il rappeler que le 22 décembre 2002, j’ai été maltraité par des partisans d’Aristide au Cap-Haïtien pour une émission de vulgarisation des principes du droit administratif dans laquelle Isaac Marcelin et moi, Cyrus Sibert, avais critiqué certaines dispositions de la maire du Cap-Haïtien et depuis lors, nous sommes objets de menace de mort de la part de dirigeants Lavalas très connus au Cap-Haïtien qui ne cachent pas, d’ailleurs, leur volonté de nous assassiner.
Ce mardi 23 janvier 2007, ces anciennes autorités locales sur le gouvernement d’Aristide qui appuient aujourd’hui le Cartel Lavalas pour la mairie de la ville du Cap-Haïtien, on remobilisé leur troupe contre nous.

Comme le maire de la ville de Petit-Goave avait motivé les partisans Lavalas à tuer Brignol Lindor, des dirigeants Lavalas du nord comme
Nawoon Marcelus (ancien député Lavalas accusé dans l’incendie de Radio Vision 2000 au Cap-Haïtien et la destruction de la maison de Charles Elusca du parti OPL),
Wilma Innocent (ancien maire Lavalas et actuel coordonnateur du parti au pouvoir dans le Nord.),
Achelet Magloire dit Chelot (chef de gang impliqué dans l’incendie d’une quinzaine de maisons au Dondon en 2004), et
Kewin Augustin (ancien directeur de l’immigration impliqué dans une tentative d’assassinat sur des jeunes opposants de Carénage en 2003),
réunis autour du cartel Lavalas composé de Michel Saint-Croix, Saint-Fleur Philocles et Joseph Fritz, incitent leurs partisans à la violence politique.
Ils m’ont reproché d’être un adversaire farouche du mouvement Lavalas et d’avoir invité dans mon émission Wylfrid Ulysse, un autre candidat à la marie de la ville en vue de rendre publique les faits contestés par son cartel, le cartel du M.R.N. (Mouvement pour la Reconstruction Nationale ) devant le Conseil Electoral Provisoire. Ces gens refusent le jeu démocratique et se lancent dans activités d’intimidation et de violence politique. D’après eux, Wilfird Ulysse ne devrait pas contester les élections ; il ne respecte pas le vote populaire.
Vers 10 heures 53, j’ai reçu un appel d’un membre du cartel me reprochant d’avoir dit des choses que je n’ai pas dites, comme pour justifier les menaces proférées par les organisateurs du sit-in et ses partisans contre moi.
Je prends très au sérieux ces menaces. Je continuerai à faire mon travail. Toutefois, il faut signaler que ce mardi 23 janvier 2007, la presse vient de relater la mort d’un journaliste photographe à Port-au-prince. Il a été attaqué par des gangs armés qui massacrent la population de Martissant.
J’inscrits les menaces qui ont été proférées par les organisateurs du sit-in de ce mardi 23 janvier 2007, au Cap-Haïtien, contre ma personne, dans le cadre d’un plan qui vise à attaquer la liberté d’expression.
Je continuerai à faire mon travail tout en restant vigilant. Les dirigeants Lavalas du Nord et les membres du gouvernement qui les protègent sont les principaux responsables de tout acte violent qui sera exécuté contre moi et contre Radio Kontak Inter.
Cyrus SibertJournalisteCap-Haïtien, Haïti.24 janvier 2007

Thursday, January 18, 2007

HAITI: PRIVATISATION DE LA TELECO : QUI PROFITE?

PRIVATISATION DE LA TELECO : QUI PROFITE?

Par Stanley Lucas

Dans une récente interview accordée au Miami Herald, le Président haïtien René Préval a annoncé la privatisation de la plus grande entreprise d'Etat du pays, la TELECO. Les citoyens haïtiens comprennent pleinement les avantages de la privatisation : augmentation de la concurrence et donc prix inférieurs. Cependant, l'expérience de la privatisation sous le régime Lavalas a laissé beaucoup d’haïtiens – tant au pays qu’ailleurs - sceptiques.

L'histoire de la privatisation en Haïti.
En 1996, le régime Lavalas a privatisé la Minoterie Nationale (Minoterie d' Haïti) et la Cimenterie Nationale (Ciment d' Haïti). L'affaire a été annoncée comme une étape vers le progrès et l’ouverture de marché dans l'économie haïtienne. Mais le citoyen moyen n'a jamais senti les avantages de cette restructuration, et il est clairement apparu que les usines ont été essentiellement données a des associées/copains de Lavalas, résultant en un monopole de fait pour ces alliés du régime.[1] Les prix des produits touchés ont de fait augmenté. Le manque de transparence qui a caractérisé ce processus a conduit beaucoup à spéculer que ces transactions étaient des faveurs politiques aux hommes d'affaires proches de Lavalas. De plus, nombre de citoyens ont questionné la légalité de ces transactions qui doivent être contestées puisque l’approbation parlementaire exigée pour de telles transactions n'a jamais été obtenue. Ceci, pour beaucoup, reste une question ouverte que les autorités actuelles doivent traiter.

Il est particulièrement important que le processus de privatisation de la TELECO, le fournisseur principal de communications et un générateur important de revenu, suive les directives globales de la privatisation. Beaucoup d’haïtiens ont déjà une forte impression que les affaires de télécom répondent à des pratiques domestiques et internationales corrompues. Comme rapporté par Lucy Komisar, le cas d'IDT était un exemple clair où Jean Bertrand Aristide a reçu des avantages et des pots de vin. Aristide et plusieurs des anciens ministres Lavalas, qui travaillent pour l'actuelle administration ont des capitaux investis dans les compagnies de téléphone opérant en Haïti. En fait, Aristide et ses alliés contrôlent la part du lion du secteur. Ces compagnies seront impliquées dans le processus d’appel d’offre. Par conséquent, il y a déjà une perception que la TELECO sera un cadeau politique.

Les haïtiens bénéficieront-ils réellement ?
Il y a eut peu de responsabilisation dans l'utilisation des fonds de la TELECO, et les revenus ont été employés à des fins politiques. L'Acte d'Enregistrement Etranger du département de la justice des États-Unis (Foreign Registration Act) (FARA)[2] des dix dernières années fournit des documents détaillés sur la façon dont Aristide a rendu beaucoup de lobbyistes riches, supportant ses investissements de télécom. Un avocat d'Aristide, selon le rapport public récent de l'ancien premier ministre Latortue, a réalisé US$10 million en quatre ans. Des revenus de la TELECO sont encore employés par Aristide pour payer des « experts » pour fabriquer des rapports de droits de l'homme, et commanditent un réseau politique international impliqué dans l'assassinat de caractère et la propagande politique sous prétexte d’appui à la démocratie. Essentiellement, ces revenus sont utilisés pour acheter l'appui international et la crédibilité.

En plus des somptueux contrats aux lobbyistes, le gouvernement Lavalas a toujours offert « des cadeaux politiques » sous forme d'affaires favorables aux entreprises commerciales internationales de façon a s’acheter l'appui international et la crédibilité. Quand des élections sont manipulées ou le gouvernement est sous pression pour violations de droits de l'homme, ces cravates internationales d'affaires sont déléguées pour contrecarrer toutes allégations désagréables. En outre il y a des accusations récentes qu'Aristide utilise des revenus de télécommunications pour commanditer la violence politique en Haïti, y compris les kidnappings, le viol et l'assassinat. En conclusion, Aristide – est hors de la présidence mais pas hors du pouvoir - et son réseau violent toujours le peuple haïtien et le pays en détournant des ressources très limitées. Le Président Préval a fait écho son désespoir durant son discours a l’occasion de la commémoration de l'indépendance il y a quelques jours : « Aujourd'hui les défenseurs du chaos ne veulent pas de la démocratie. Ils profitent de l'instabilité politique actuelle pour dilapider les fonds publics du pays, « fixer » des contrats d'état et continuer leurs entreprises de marché noir et de trafic de drogue ».

Comment réussir
D'abord, Aristide doit être jugé responsable. Alors que cette question peut paraître compliquée, il n'est pas impossible de s’assurer que la privatisation de la TELECO profite réellement à l'économie haïtienne - plutôt que de bénéficier quelques personnes. Afin d'assurer la transparence et d’éviter des conflits d'intérêts pendant la privatisation de la TELECO, le gouvernement de Préval devrait adopter des règlements détaillés relatifs à la privatisation des entreprises d'Etat. Le Fond monétaire international (FMI) décrit les recommandations suivantes :
1. Définir clairement ce que signifie la privatisation
La privatisation devrait nécessiter l’élimination des privilèges existants afin d’équilibrer le terrain de jeu, une propriété privée, une gestion indépendante et un marché basé sur le la concurrence.
2. Définir des objectifs clairs
Définir les objectifs au départ, avant que des intérêts spéciaux puissent interférer et perturber le processus.
3. Maintenir un engagement politique fort et une communication efficace
Le processus de privatisation devrait jouir d’un appui fort aux plus hauts niveaux, les objectifs et les méthodes proposées de privatisation devraient être partagés avec les intéressés tôt.
4. Assurer la transparence du processus de privatisation
Un processus décisionnel transparent est crucial pour assurer une privatisation réussie et politiquement légitime.
5. Établir un cadre normatif qui inclut un champ de jeu équilibré
La privatisation devrait être précédée par :
- Le placement de l'entreprise d'Etat au même plan que ses concurrents du secteur privé - Seulement la restructuration commerciale la plus limitée de l'entreprise d'Etat
- La promotion de la concurrence par la protection contre la puissance dominante du marché de l'entreprise d'Etat et la subvention
- La prise mesure pour s'assurer que les réformes normatives pertinentes sont conformes aux règles de commerce international ……
6. Limiter la supervision post-privatisation gouvernementale a son rôle normatif légitime
La participation du gouvernement dans la gestion de corporation et de mandats n’ayant rien a voir avec la chose publique devraient être évités autant que faire se peut. La privatisation devrait éviter de donner un quiproquo pour le mandat universel de service. En outre, la gestion de corporation devrait être soustraite aux interventions directes du gouvernement, évitant des placements d’officiels du gouvernement comme fonctionnaires et directeurs. L’investissement du gouvernement et d'autres formes d'emprise devraient être évité et ne devraient pas être employé comme base pour mettre en application de mesures qui créent la Co-dépendance et entravent la transition de l'entreprise d'Etat et nuit aux clients de ses concurrents.


[1] Haïti, sous le régime Lavalas a été récemment classé pays le plus corrompu du monde, selon le Transparency International.

[2] Conformément à la loi, les lobbyistes sont requis de s'inscrire au département de la justice des Etats Unis et de révéler leurs clients et les sujets qu'ils traitent au nom de ces clients.

Tuesday, January 16, 2007

Haitian Making History in the United States Haïtien Faisant l’Histoire Aux Etats-Unis

Leonard Joseph:
English: The Florida Democratic Party has elected Haitian-American Leonard Joseph to the post of Executive Director. Joseph is the first Haitian immigrant to serve as Executive Director. Joseph, the party's political director, was named to the top position following the resignation of Luis Navarro
Français: Le Parti Démocrate de la Floride has élu l’Haïtien Américain Leonard Joseph au poste de directeur exécutif. Joseph est le premier migrant Haïtien a occupe ce poste. Joseph, qui était le directeur politique du parti, a été nomme à ce poste de haut niveau après la démission de Luis Navarro

Saturday, January 13, 2007

Violence et Politique en Haiti par Laennec Hurbon

Haïti : violence et politique
http://www.alterpresse.org/spip.php?article5588
vendredi 12 janvier 2007

Par Laënnec Hurbon [1]

Soumis à AlterPresse le 8 janvier 2007

Une chaîne de signes nous met devant la dure évidence d’un pouvoir qui sort de ses rails et reconnaît son impuissance à correspondre à sa visée première et essentielle, celle d’assurer la sûreté (protection que l’État accorde aux citoyens contre l’arbitraire et pour la conservation de ses biens et de ses droits) et la sécurité (de la vie) de chacun. Si l’État dispose, selon la philosophie politique traditionnelle, du monopole de la violence légitime, l’Exécutif haïtien y renonce en partie à travers la décision de négocier avec des bandits.

Au départ, il est bon de rappeler la toile de fond actuelle sur laquelle se détache cette négociation. Peu après les élections du 7 février dernier, des kidnappeurs sont comme par enchantement libérés. La plainte déposée aux États-Unis contre Aristide est levée. Des fonctionnaires suspects de corruption sont remis à leur poste. Dans une commission gouvernementale on introduit un porte-parole autoproclamé de l’opération Bagdad. Une opération qui a endeuillé tant de familles par le vol, le viol, le kidnapping et la destruction d’un marché où périrent une douzaine de commerçants et où des dizaines d’autres ont vu périr dans les flammes toutes leurs marchandises.

Enfin, un concept dit d’apaisement social prétend imposer sur la seule base des inégalités sociales une interprétation de la criminalité galopante et de la barbarie qui l’accompagne. Argument auquel fait chorus la MINUSTAH pour justifier son parti pris et sa passivité. Mais on n’explique pas pourquoi les victimes des bandits sont de toutes les catégories sociales et pourquoi en grande majorité ce sont les pauvres. La barbarie qui consiste à violer des enfants, à les assassiner, puis à enlever des cars remplis d’écoliers relève de l’incroyable pour la population, toutes classes sociales confondues. En sorte que chacun, dans la capitale notamment, finit par vivre sous la menace de kidnapping, de viol et d’assassinat, donc dans la plus grande insécurité.

L’État au service d’un groupe

Au-delà de l’amalgame entre une institution étatique à forte épaisseur historique et un groupe de bandits qui ne représentent que les milieux de la criminalité, il importe de considérer la conception de l’État et du politique que présuppose le principe d’une négociation avec des bandits.

En effet, dans cette perspective le pouvoir n’a plus pour tâche de défendre ce qu’on appelle l’universel, il déchoit dans la défense des intérêts particuliers ; il ne fonctionne plus pour l’ensemble des citoyens sans exception, car il semble prendre sur lui d’assurer d’abord la protection des bandits. Mais ne nous empressons pas d’imputer au pouvoir une mauvaise foi, il doit probablement avoir une conception bien particulière des bandits, qui lui permet de comprendre et de s’expliquer le regain actuel de criminalité.

Les bandits criminels seraient-ils les pauvres qui décident maintenant de prendre leur revanche ? Je pourrais donc, comme pauvre, entrer par effraction dans n’importe quelle maison, accaparer l’argent, les bijoux, les voitures, les femmes et les enfants ? Cela signifierait que le bandit aurait tous les droits ; dans l’acte criminel, il est en effet sa propre loi comme un petit roi tout-puissant, qui n’a plus aucune limite, aucun cran d’arrêt à ses désirs, c’est ce qui explique qu’il peut aller jusqu’à des actes de barbarie.

Une négation de la démocratie

En soustrayant le bandit à la loi, l’État ne fait que pervertir le principe de la lutte de classes dont il dévie totalement le sens vers une pratique populiste. On accorderait donc aux bandits la possibilité de représenter les pauvres, et même de disposer du droit de la majorité. Le pouvoir en ferait sa base principale et leur serait redevable. Or c’est précisément par là que le pouvoir adopte une position antidémocratique, car il cesse de se laisser guider par une politique du bien commun. C’est en effet dans la recherche du bien commun que le pouvoir instaure un va-et-vient de discussions et de décisions avec tous les groupes sociaux constituant la nation et qu’il pourra déterminer comment soutenir avec équité les revendications de ceux qui sont dans la pénurie ou qui sont exploités. Mais avec la dérive populiste dans la violence et la soumission aux diktats des délinquants qui se mettent en dehors de la loi, l’État prendra nécessairement la pente de la corruption et aboutira peu à peu à contribuer lui-même à la destruction du lien social et à la désorganisation de la vie économique, par quoi le pays connaîtra davantage de pauvreté.

S’il n’y a plus d’universalité de la loi, c’est-à-dire s’il y a éclipse de la loi, suspension de la loi qui peut frapper celui qui la viole, le pays plongera dans les ténèbres de la barbarie, ce qui correspondrait fort bien à l’anathème d’Aristide : « il fera nuit la nuit comme le jour, si la démocratie n’existe pas » (traduction : « si moi Aristide je ne fais pas mes cinq ans, ou si moi, je ne reviens pas en Haïti » ou encore « la démocratie c’est moi, Aristide ». En soustrayant le bandit à la loi, l’Exécutif parvient à se mettre à la place du système judiciaire. À ce moment, et l’État, et le politique, et l’ordre symbolique qui permettent à la société de se tenir debout, dans la mesure où ils constituent son épine dorsale, viennent à vaciller, et nous tombons facilement sous le paradigme du Rwanda : le bandit a les mains libres pour tuer et kidnapper, voler et violer, car l’État et le pouvoir se sabordent et provoquent leur propre naufrage.

Le fantasme du pouvoir absolu

C’est la Loi qui fait que chaque Haïtien peut reconnaître en un autre individu un être humain et qui maintient constamment la possibilité d’un avenir pour la société comme société humaine. Logiquement, il est impossible que la négociation avec les bandits puisse « donner de bons résultats », elle se retournera même tôt ou tard contre les tenants actuels de l’Exécutif, à moins que ces résultats se confondent avec l’absolu du pouvoir politique établi qui serait le pouvoir absolu.

L’acte du kidnapping ne serait-il pas avant tout le retour du fantasme du maître qui voit dans l’esclave le bien meuble qu’il peut échanger contre de l’argent ? N’est-ce pas là un processus de zombification : le fantasme d’un pouvoir absolu ? Que Aristide se déclare le kidnappé des grandes puissances, et qu’il ait des partisans pour reprendre ses dires, n’est-ce pas un stratagème pour ouvrir le chemin à la justification du crime du kidnapping comme punition pour toute la société par la réduction de chaque Haïtien à l’état d’esclave° ? Bien entendu, Aristide serait à lui seul tout le pays. Comme un tyran, ou un dictateur romain. Comme Néron. Comme Caligula.

La force de l’État : la force de la loi

Est-ce qu’on ne peut pas dire par exemple que le gouvernement est trop faible et qu’il hérite d’une situation dans laquelle il ne disposerait pas tout à fait des forces nécessaires pour combattre le banditisme ? Le rapport de forces est obligatoirement en faveur de l’État, car il a pour lui la loi, une force plus puissante que les armes à feu, il peut alors sur cette base mobiliser la nation et entrer en campagne pour mettre en défaite le banditisme par des arguments fondés sur la raison et la morale. Mais ce n’est pas suffisant, encore faut-il qu’il cherche les moyens adéquats de répression prévus dans la Loi pour assurer la sûreté et la sécurité des vies et des biens. On est pouvoir exécutif parce qu’on est en mesure de chercher et de trouver ces moyens qui ne seront jamais et qui ne pourront jamais être des appuis offerts à des bandits. Sous la condamnation unanime (de nombreux citoyens, de diverses associations, de personnalités proches des droits humains, du Parlement, ...) de la négociation avec des bandits, le pouvoir déclare chercher désormais à les traquer. Mais la vigilance doit plus que jamais s’imposer.

Seul le retour au principe de la sanction et de la peine pour les actes de banditisme, tel que la Loi le prévoit dans son universalité- et cette perspective n’a rien d’abstrait ni d’idéaliste- peut manifester le respect pour la souffrance des victimes (qui appartient à toute la société) et ouvrir la voie à la sûreté et à la sécurité pour tous. Ce sont là les conditions nécessaires pour que la pauvreté recule, car alors les investissements seront possibles et le développement ne sera pas un slogan et un simple vœu ; la lutte contre les inégalités sociales se fera plus vraie et plus efficace. Choisir l’axe de la légalité et de la justice, c’est se mettre en condition d’ouvrir le chemin du développement et de s’assurer du soutien de toute la société haïtienne, comme de l’ensemble de la communauté internationale.

[1] Sociologue. Directeur de recherche au CNRS (Centre national de la recherche scientifique-Paris). Professeur à l’Université Quisqueya

Haiti - Canada: Jean Candio implique dans les violations des droits humains en Haiti demande l’asile politique au Canada

Canada: Jean Candio implique dans les violations des droits humains en Haiti demande l’asile politique en Ontario: Voir rapport de presse a l’adresse suivante: http://www.theglobeandmail.com/servlet/story/LAC.20070109.HAITI09/TPStory/?query=Haiti

POHDH & NCHR : Rapport sur l'incident survenu à Pliché le 25 novembre 2000 http://www.rnddh.org/article.php3?id_article=323 Posté le 12 janvier 2007
Le 25 novembre 2000, à la veille des élections présidentielles et sénatoriales, l'église de Pliché, située dans la 4ème section communale de Cavaillon, une des communes du département du Sud, a été le théâtre d'un incident regrettable. Dans le souci de s'informer sur ce qui s'y est réellement passé, la Plate-forme des Organisations Haïtiennes de Droits Humains (POHDH) et la Coalition Nationale pour les Droits des Haïtiens (NCHR), se sont rendues sur les lieux et se font le devoir de communiquer à tous et à toutes, les conclusions de leur enquête.
Récit des événements

A la veille des élections présidentielles et sénatoriales du 26 novembre 2000, le Conseil Municipal de Cavaillon a pris un arrêté communal interdisant toutes activités de nature à perturber le déroulement du scrutin.

Chaque dernier dimanche du mois de novembre a lieu la fête patronale Sainte Cécile de l'église de Pliché. En prélude à cette célébration, le 25 novembre 2000, le responsable de la Paroisse de l'église de Pliché, de concert avec des membres de l'Association Tourisme Alternatif Sud (ATAS), ont organisé une réunion sur le tourisme. Aux environs de 4 heures PM, un commando lourdement armé, composé du député de la circonscription de Saint-Louis du Sud/Cavaillon, Jean Candio, du maire principal de Cavaillon, Martel René, de l'un des deux assesseurs, Bailly Vincent, d'un employé de la Téléco de Bonne-Fin, Reynold Candio, du délégué du Bureau Electoral Communal, Sanon Toussaint et de huit (8) autres individus, tous membres du parti politique Lafanmi Lavalas ont fait irruption dans l'enceinte de l'église.

L'un des membres de ce commando a pointé son arme en direction des participants, renversé leurs objets et les bancs sur lesquels ils étaient assis, leur a intimé l'ordre de se mettre debout, les mains sur la tête, les a bousculés avant de leur demander de vider les lieux. Le prêtre, s'y étant opposé, a été brutalisé et contraint de sortir. Arrivés dans la cour de l'église, les participants, ainsi que le prêtre, mis à joue, furent sommés de se coucher par terre. Ce dernier, une fois de plus, a refusé. Une altercation s'en est suivie et le maire-adjoint Bailly Vincent est intervenu en faveur du prêtre.
Après leur forfait, le maire Martel René a déclaré qu'en raison des élections du 26 novembre 2000, les portes de l'église de Pliché doivent rester fermées ce, en dépit de la fête patronale de Pliché, la Sainte Cécile, coïncidant cette année à la date des élections. Pour corroborer ses allégations, le maire a fait valoir que l'église de Cavaillon a aussi fermé ses portes. Avant de partir, le maire Martel René a menacé de revenir, en plus grand nombre et mieux armés, de châtier sévèrement les contrevenants, si ses ordres ne sont pas respectés.

Questionné autour des événements, le maire-adjoint Bailly Vincent a affirmé qu'une délégation composée du maire principal Martel René, du député Jean Candio, de lui-même et de quelques agents de sécurité, s'est effectivement rendue à la Paroisse de l'église de Pliché. Cette délégation s'appuyant sur l'arrêté communal, aurait demandé au responsable de cette paroisse de surseoir à toutes activités pouvant être organisées par l'église à l'occasion de la fête patronale de Sainte Cécile, ce, en raison des joutes électorales du 26 novembre 2000. Cette démarche aurait été entreprise dans le but de prévenir un affrontement parce que le député disposerait d'informations selon lesquelles la fête patronale de Sainte Cécile serait perturbée par des gens mal intentionnés. Toujours selon le maire-adjoint Bailly Vincent, le prêtre est un menteur qui dirige une station de radio dénommée Voix Paysans Sud (VPS) à travers laquelle il mène une campagne de dénigrement contre Lafanmi Lavalas, en faisant circuler des tracts et en taxant les mandataires des élections du 21 mai et du 9 juillet 2000 d'élus contestés.

Conclusions
La POHDH et la NCHR condamnent les agissements du député Jean Candio, des maires Martel René et Bailly Vincent, de l'employé de la Téléco de Bonne Fin, Reynold Candio et de leurs accompagnateurs dans la perpétration de cet acte barbare qui ont fait revivre un passé somme toute révolu, et rappellent que l'église constitue à la fois un lieu saint et un espace inviolable.
Les événements survenus à la Paroisse de Pliché témoignent de l'arbitraire de certains élus et de la méconnaissance de leurs fonctions. Il ne revient ni à une municipalité ni à quiconque d'interdire l'organisation d'activités religieuses, sociales, économiques et culturelles à des fins pacifiques.

Ces actions heurtent la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme de 1948 et la Constitution Haïtienne de 1987 qui, dans leurs articles, 20-1 et 31, stipulent respectivement :
« Toute personne a droit à la liberté de réunion et d'association pacifiques » ;
« La liberté d'association et de réunion sans armes à des fins politiques, économiques, sociales, culturelles ou toutes autres fins pacifiques est garantie ».

Thursday, January 4, 2007

Haiti: TELECO PRIVATIZATION: QUI BONO?

TELECO PRIVATIZATION: QUI BONO?
By Stanley Lucas centurionlucas@gmail.com
http://www.haitipolicy.org/content/3740.htm?PHPSESSID=8533cfa3d50ad775d8e3ff00f010c702
In a recent interview with the Miami Herald, Haitian President Rene Preval announced the privatization of the country’s largest state-owned enterprise TELECO. Haitian citizens fully understand the benefits of privatization as increased competition and therefore lower prices. However, experience with privatization under the Lavalas regime has left many Haitians – at home and abroad – skeptical.

Haiti’s history with privatization
In 1996, the Lavalas regime privatized the state-owned flour (Minoterie d’Haiti) and cement (Ciment d’Haiti) factories. The deal was much touted as a step towards progress and marketization in the Haitian economy. But the average citizen never felt the benefits of this restructuring, and it became clear that the factories were essentially given away to Lavalas cronies resulting in a de facto monopoly for government allies. [1] Prices for these commodities actually climbed. The lack of transparency during that process has led many to speculate that these transactions were political payoffs to businessmen close to Lavalas. Further, many citizens believed that the legality of these transactions must be challenged as the required parliamentary approval was never obtained. This, for many, remains an open issue for current officials to address.

It is especially important that the process of privatization of TELECO, the main communications provider and a major revenue generator, follow global guidelines of privatization. Many Haitians already have a strong perception that telecom business is riddled with corrupt domestic and international dealings. As reported by Lucy Komisar, the case of IDT was one clear example where Jean Bertrand Aristide received payoffs and kickbacks. Aristide and several of his former Lavalas ministers, who are working for the current Administration, have assets invested in the current telephone companies in Haiti. In fact, Aristide and his allies control the lion’s share of the sector. These companies will be involved in the bidding process. Therefore, there is already the expectation that TELECO will essentially become a political gift.

Will Haitians actually benefit?
There is little accountability in the use of TELECO funds, and revenues have been used for political purpose. The U.S. Justice Department Foreign Registration Act (FARA)[2] of the past ten years provides detailed documents on how Aristide has made many lobbyists quite wealthy supporting his telecom investments. One Aristide lawyer, according to recent public statement of former Prime Minister Latortue, made US$10 million in four years. TELECO revenues are still used by Aristide to pay “experts” to fabricate human rights report, and sponsor an international political network involved in character assassination and political propaganda under the pretense of supporting democracy. Essentially, revenues are used to purchase international support and credibility.

In addition to lavish lobbying contracts, the Lavalas government has always offered up “political gifts” in the form of favorable business deals to international business concerns as another way to buy international support and credibility. When elections are rigged or the government is under pressure for human rights violations, these international business ties are trotted out to counteract any unpleasant allegations. In addition there are recent allegations that Aristide is using telecommunications revenues to sponsor political violence in Haiti, including kidnappings, rape and assassination. What it comes down to is that Aristide – out of office but not out of power – and his network are still raping the Haitian people and the country of very limited resources. President Preval echoed his desperation during his Independence Day celebration speech several days ago: “Today the supporters of chaos do not want democracy. They are taking advantage of the current political instability to rip off the country’s public funds, to “fix” State contracts and continue with their black market businesses and drug trafficking”

How to get it right
First, Aristide needs to be held accountable. While this may be a complicated issue, it is not impossible to have the privatization of TELECO actually benefit the Haitian economy – rather than just benefiting a few people. In order to ensure transparency and avoid conflicts of interests during the privatization of TELECO, the Preval government should pass detailed regulations covering privatization of state owned enterprises. The International Monetary Funds (IMF) outlines the following recommendations:

Clearly define what privatization means
Privatization should entail the removal of existing privileges to create a level playing field, private ownership, independent management and market based competition.

Set clear objectives
Set objectives at the outset, before special interests can interfere and disrupt the process.

Maintain strong political commitment and effective communication
The privatization process should have strong support at the highest levels, the set objectives and the proposed privatization methods should be shared with the stakeholders early on.

Ensure transparency in the privatization process
A transparent decision making process is critical to securing a successful and politically tenable privatization.

Establish a regulatory framework that includes a level playing field
Privatization should be preceded by:
- Placing the state-owned enterprise on a level playing field with private
sector competitors
- Only the most limited commercial restructuring of the state-owned enterprise
- Promote competition by protecting against the state-owned enterprise’s dominant market power and cross-subsidization
- Taking measures to ensure that related regulatory reforms comply with international trade rules and result in a system of compliance that can carry forward

Limit post-privatization government oversight to a legitimate regulatory role
Government involvement in corporate governance and unrelated public policy mandates should be avoided where possible. Privatization should avoid giving a quid pro quo for universal service mandate. In addition, corporate governance should be independent from direct government input in management, avoiding placements of government officials as officers and directors. Government shareholding and other forms of influence should be avoided and should not be used as a basis for implementing measures that effectively create co-dependency that hampers the state-owned enterprise transition and harms its competitors and customers
[1] Haiti under the Lavalas regime was recently ranked the most corrupt country in the world according to Transparency International.
[2] As a legal matter, lobbyists are required to register with the Justice Department and disclose their clients and matters they are handling on behalf of their client.

HAITI: HOMMES, FEMMES, INSTITUTIONS ET DECEPTIONS DE L’ANNEE 2006

QUELQUE CHOSE DOIT CHANGER EN HAITI
Stanley Lucas centurionlucas@gmail.com

Vos trouverez ci-joint la liste actualisée des hommes et femmes de l'année. L'idée n'est pas de choisir des gagnants ou des perdants mais plutôt de commencer à institutionnaliser l'excellence en lieu et place de la médiocrité qui depuis quelques années semble vouloir prendre le dessus en Haïti. L’assassin Amaral Duclona chef de gang a reçu cette année une plus grande couverture de presse que Jean Claude Bien Aime de Cite Soleil, le lauréat national 2006 du baccalauréat Haïtien. Bien Aime a reçu trois lignes dans un des numéros du journal Le Matin. Ce n’est pas normal, quelque chose doit changer dans ce pays. Nous devons construire des modèles pour nos jeunes, c’est un devoir citoyen.

HOMMES, FEMMES, INSTITUTIONS ET DECEPTIONS
DE L’ANNEE 2006
Cette liste est imparfaite, malgré les réactions négatives ou positives qu’elle recevra elle reflète une certaine réalité de l’excellence et de l’indécence en Haïti. Ou genyen dwa pa dako, men se sa ke nou genyen. Je vous invite à la compléter. Bonne lecture. Joyeux Noel 2006 et commençons à travailler pour que 2007 soit l’année de l’espoir et du nouveau départ.

Femmes de l’année : Sénateur Edmonde Bauzile première femme vice présidente du sénat de la république et madame Mirlande Manigat qui a gagne les élections sénatoriales dans un département difficile.
Hommes politique de l’année : Geard Latortue pour avoir permis la participation de toutes les sensibilités politiques aux élections de 2006, René Garcia Préval pour son retour victorieux au palais national, Rudy Boulos pour avoir démontré qu’un homme d’affaires peut gagner des élections locales.

L’homme politique le plus puissant de l’année : Fritz Longchamp secrétaire général et chef de cabinet de la présidence et ancien ministre des affaires étrangères d'Aristide

Le leader politique de l’année : Charles Baker pour sa performance en tant que nouveau venu sur l’échiquier politique et Marc Bazin comme candidat lavalas aux dernières élections et son assistance au président Préval

Homme d’Aristide au pouvoir de l’année : Fritz Longchamp et Raynald Clerisme

Déception de l’année : Le Premier ministre Jacques Edouard Alexis, le ministre de la justice et les secrétaires d’état a la sécurité publique et de la justice pour leur mauvaise performance Juin – Décembre 2006
Irresponsabilité politique de l’année : Gérard Jean Juste et ses déboires avec la justice Haïtienne sur les questions de violences politiques.

Le manipulateur politique de l’année : Jean Bertrand Aristide pour ses efforts de transformer René Préval une seconde fois en une doublure, pour sa manipulation de l’insécurité posant a la fois en bourreau et victime, pour avoir solliciter l’intervention étrangère et posant en (faux) nationaliste, pour avoir ses représentants au palais et au gouvernement tout en sabotant la présidence et le gouvernement.

Le perdant de l’année : Leslie François Manigat second aux élections présidentielles et le parti Fanmi Lavalas

Ministre de l’année : Jean Max Bellerive et François Severin

Fonctionnaire de l’année : Roland Chavannes

Policier de l’année : Mario Andresol pour avoir remporte sans critique la confirmation du Senat

Parlementaire de l’année : Youri Latortue pour sa méthode de travail et sa lettre sur la sécurité au premier ministre Alexis.

L’officiel électoral de l’année : Jacques Bernard, pour ses efforts de modernisation de la machine électorale Haïtienne et pour avoir résister aux pressions politiques et aux efforts de manipulations du processus électoral de 2006

Irresponsabilité électorale de l’année : Patrick Fequiere, pour ses déclarations publiques irresponsables tout au cours du processus électoral de 2006. Déclarations qui ont failli saboter les élections de 2006. La loi électorale lui fait obligation de gérer er de solutionner les problèmes pas de se plaindre de façon irresponsable.
Ambassadeurs de l’année : Raymond Joseph pour ses efforts de relations publiques pour influencer le vote de HOPE au congres des Etats-Unis et son neveu Wyclef Jean se battant pour changer l'image international d'Haïti tout en donnant de l'espoir aux jeunes démunis d'Haïti

Etudiant de l’année : Jean Claude Bien Aime Collège St Alphonse lauréat national du baccalauréat 2006 est résident de Cite Soleil

Homme d’affaires de l’année : Jean Robert Argant président de la Chambre de Commerce

La fierté diplomatique de l’année : Ricot Dormeus, ancien haut fonctionnaire du ministère des affaires étrangères d’Haiti, recruter au Secrétariat General de l’organisation des Etats Américains

Journaliste (sport) de l’annee : John Chery et Patrice Dumont

Athlète de l’année : Wildie Vertus, medaille d’or Judo

Club sportif de l’année : Baltimore de Saint Marc

Sponsor (sport) de l’année : Digicel et Sogebank

Meilleur de joueur de tennis de l’annee : Gael Gaetjeens et Bianca Sanon

L’auditeur radio de l’année : Belamour Joseph abonne de radyo leve kanpe

Homme courageux de l’année : Jean Yves Noel directeur de l’UCREF

Economiste de l’année : Kesner Pharel

Avocat de l’année : Thierry Mayard Paul, pour son analyse sur l’affaire Simeus, cour de cassation

Journaliste (dossier) de l’année : Nancy Roc, pour sa façon méticuleuse de préparer ses dossiers et ses analyses, qui très souvent dans le temps se révèlent d’une précision incroyable. Comme si elle possédait une boule de Crystal magique.

Journaliste (dossier économique) de l’année : Thomas Lalime, journal le Matin

Inventeur Haïtien de la diaspora de l’année : Ralph Gilles qui a conçu le véhicule Chrysler 300
Perte de l’année : TiGA, peintre, qui a forme plusieurs générations de peintres Haïtiens a un moment ou les transferts de connaissances dans ce domaine n’existent pas en Haïti. TiGa est parti il y a quelques jours.

Dirigeant sportif de l’année : Ernst Laraque

Le correspondant internet de l’année : Cyrus Sibert

Présence Internet de l’année : Robert Benodin

Homélie de l’année : Monseigneur Louis Kebreau lors de la prestation de René Préval

Martyre de l’année : Farah Dessources

Meilleur bilan de l’année : Michel Soukar

Le militant des droits humains de l’année : Pierre Esperance

Le parti politique de l’année : Fusion

Liste internet de discussion de l’année : Haitianpolitics

Journal de l’année : Le Matin et le Nouvelliste

Magazine de l’année : Magazine Haïtiens d’Aujourd’hui

Organisation jeunes de l’année : GRAFNEH

Organisation femmes de l’année : CONAP

Organisation des droits humains de l’année : RDDNH

La meilleure campagne électorale de l’année : Campagne présidentielle Lespwa et campagne sénatoriale Rudy Boulos

Radios de l’année : Kiskeya, Métropole, Signal a cause de leur accès internet

Emission de l’année : ranmasse de radio caraïbe

Fédération sportive de l’année : fédération Haïtienne de Judo

Révélation de l’année : Belo

Production intensive d’articles : Jean Erich Rene

Indécence de l’année : Nomination de Samba Boukman dans la commission de désarmement et l’arrestation aux Etats-Unis du Vice président de cette commission

La victoire politique de l’année : Les efforts de recherche de consensus pour mettre en place un gouvernement représentant les sensibilités politiques au parlement.

Le Blog de l’année : Les blogs de William Bernard (blog politique Cap-Haitien) et de Carl Fombrun (blog social Floride)

Hôtel de l’année : Le Montana Hôtel

La honte de l’année : Haïti classée le pays le plus corrompu du monde par transparency International

Les novices de l’année : La majorité des parlementaires

Occasion ratée de l’année : La réunion des bailleurs de fonds a Madrid

Bévue de l’année : ‘Dans tous les pays on négocie avec les bandits’ Jacques Edouard Alexis

Le dossier de l’année : L’insécurité politique

La lettre de l’année : Lettre en date du 18 décembre 2006 de l’ingénieur Armand Louis au président Préval et au premier ministre Alexis poste sur alter presse

Homme silencieux de l’année : Andy Apaid

Etranger de l’année : Sénateur Mike DeWine et le députe Charles Rangel pour avoir défendu la législation HOPE

En cette fin d’année j’ai une pensée spéciale pour ceux qui nous ont quitte Emmanuel Verdieu, TIGA, Gérard Pierre-Charles, René Theodore, Rémy Zamor, Jean Claude Lucas et Yvette Marhone. Le travail continue…..
HAITI SONDAGE :
Etes-vous d'accord avec le Premier Ministre que le
pays doit négocier avec les criminels ?

LES RESULTATS
Analyse
5000 participants ont répondu à la question.4999 ont répondu non. Pour les répondants, la sécurité est, semble-t-il, la priorité des priorités. La majorité des participants refusent l’approche du premier ministre Alexis. Les réponses mettent à jour la frustration montante des citoyens et la perte de crédibilité de Mr. Alexis qui ne jouit plus de la confiance des répondants. Les participants sont des mères, pères de famille, des jeunes, des femmes, des syndicalistes, des étudiants, des femmes, des paysans, des journalistes, des hommes d’affaires, des parlementaires, des militants de partis politiques, des officiels du gouvernement révoltés et frustrés de la politique de leur propre chef, Mr. Alexis, des parlementaires qui souhaitent le départ ou le renvoi du premier ministre. Les réponses sont sincères, directes, émotionnelles et reflètent la tension grandissante existant en Haïti actuellement. En analysant les réponses, on constate aussi que les répondants croient fermement qu’il existe des liens étroits et associatifs entre certains membres du gouvernement et les criminels. Les répondants ont la conviction que les criminels bénéficient d’une immunité « politique » qui empêche aux institutions comme la police et les tribunaux de faire leur travail.

En conclusion, les répondants attendent des changements. Des changements de direction révélés par le sens des nombreuses questions qui traduisent leurs préoccupations:

Le président va-t-il envisager un remaniement ministériel en mettant l’accent sur la sécurité des vies et des biens?
Est-ce que le président Préval remplacera Mr Alexis à cause de son incapacité comme le président Bush a remplacé le ministre de la défense Rumsfeld à cause des défis de l’Irak et des pressions de l’opinion publique ?
Mr Alexis et quelques ministres non performants du gouvernement n’on-ils pas perdu leur crédibilité aux yeux des parlementaires?
Est-ce que les parlementaires demanderont à Mr Préval de remplacer Mr. Alexis ?
Les parlementaires utiliseront-ils leur pouvoir constitutionnel pour renvoyer Mr. Alexis par un vote de non confiance ?
Est-ce que ce sera la confrontation entre Mr Alexis et les forces sociales et politiques du pays face au comportement « kite mele mwen » du premier ministre ?
Comment les partis politiques, actuellement muets, voulant conquérir l’électorat réagiront par rapport a Mr. Alexis ?

C’est un dossier à suivre. En attendant je vous invite a lire les réponses de 130 premier répondants. Pour question de sécurité nous publions seulement les prénoms a cote de leurs réponses. Bonne lecture.

Réponses des 130 Premiers Répondants

1. Négociations avec les bandits? NON. Robenson

2. Non. Jude

3. Ma réponse est NON, On ne négocie pas avec les criminels à moins qu'on soit un des leurs. Perin

4. Mon réponse est : NON, Je ne suis pas d'accord avec le Premier Ministre que lepays doit négocier avec les criminels. Jérôme

5. Non je ne suis pas d'accord avec le premier ministre Alexis. Cette déclaration marque la faillite de l'Etat. L'Etat n'existe plus! Jean Edgard

6. Je ne suis pas d’accord. NON. Ghislaine

7. Ma réponse est carrément non. Un non ferme et appuyé. Quel citoyen digne de ce nom peut appuyer une telle politique ? Je plaide faveur de la mobilisation de mes compatriotes ainsi que de nos vrais amis étrangers pour obliger les dirigeants étatiques à prendre leurs responsabilités et changer de pratiques à tous les niveaux. Quesnel

8. Non, Mille fois non!!!! Les criminels, on les fusille (spécialement ceux-là) Guillaume

9. C'est sur que non ! Partout les terroristes sont des terroristes. On doit les traiter comme des criminels

10. Non, on ne doit pas négocier avec bandits. Ils doivent aller en prison ou au cimetière. Cleus

11. Non : je n'appuie pas le premier Ministre Alexis dans sa déclaration. Brunine

12. NON Patrick

13. Such thing never hapened in any serious government. I am totally against that. Manistin

14. La réponse est NON. Parnell

15. Non. Marie Helene

16. Non. Brulan

17. On ne négocie pas avec des criminels. Kettelie

18. Jacques Edouard est un vrai taliban enveloppe dans Al-Quiaieda caraïbes. John

19. NON JE NE SUIS PAS D'ACCORD. Oswald

20. NON IL N"EN EST PAS QUESTION !! ! Elsie

21. NON. Martine

22. No. L

23. Je ne suis pas d' accord avec le premier ministre. On négocie avec des délinquants pas avec ces san manman

24. No. Stephanie

25. No. Alix

26. . Non je ne suis pas d'accord. Alain

27. NO. Herbert

28. No. Alexander

29. No. Carl F

30. No. Charles

31. NO. Patrice

32. Non je ne suis pas d'accord. Marcel

33. Non. Pierre-Hugues

34. Non. Elsie

35. Non. Marcel

36. Non. Laurore

37. NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO. Alex

38. Je désapprouve la déclaration du premier ministre Alexis. Nicole

39. Non. Han

40. Non. Louis P

41. Non. MLS0874

42. Je ne suis absolument pas d'accord de négocier avec ces bandits/terroristes. On ne négocie pas avec ces crapules. Garthe

43. Une chose qui n'est pas juste de négocier avec les criminels. Non pour la négociation! Raymond

44. Non je ne suis pas d accord de négocier avec les bandits.1) le gouvernement détient des liens privilégies avec ces bandits.2) Qu’apportent ces bandits sur cette prétendue table de négociations.3)Je pense que ces bandits sont a la solde du gouvernement et que ca fait leur affaire puisque le gouvernement les utilise comme un outil de pression contre ceux qu’il (le gouvernement en place) pense être leur ennemi politique.4)Aussi les bandits jouissent de la complicité et de l'impunité du gouvernement. Reggi

45. Un gros NON a moins qu'on soit cingle comme les gens au pouvoir. Wilhelm

46. Non. Diggan

47. Non. Elie

48. NON ....PAS D'ACCORD AVEC LE PM ALEXIS SUR NEGOCIATIONS AVEC CHIMERES--CE SONT DES CRIMINELS. Alice

49. NON,NON ET NON. Reginald

50. La déclaration du premier est révoltante. Je le croyais plus brillant et plus humain que ça. Je responds tout implement non. Louis Charles

51. Selon mon opinion, NON le gouvernement ne devrait pas négocier avec des bandits. Cela prouve à l'opinion publique que le gouvernement n'est pas tout à fait au contrôle de cette situation. En effet, si on base sur la logique tout criminel doit payer pour les actes. Monique

52. Non à Alexis, Chimère en Cravate. pas question de négociation. Lune

53. Non, il n'a aucun droit de négocier avec les criminels. C'est illégal, scandaleux, et révoltant. Claude

54. Pas de négociation avec des criminels. Georges

55. Bien sûr que non!!!!! Christian

56. Non. Marline

57. Non. Edward

58. Je ne suis pas d'accord avec le Premier ministre. Emmanuel

59. Non. Gefrand

60. Non, Non, Non. Ghislaine

61. Je ne suis pas d'accord avec le premier ministre au sujet de la négociation avec les kidnappeurs. Calixte

62. Non. Jacinthe

63. En aucun cas il n'est pas bon de négocier avec les criminels. Doreus

64. Non je ne suis pas d’accord. Lolo

65. Non je ne suis pas d'accord, le pays est a nous autres Haïtiens. Pas a un groupes de personnes particulières ou une minorité assez faible doit diriger notre pays n'est pas a vendre, nous autres haïtiens, nous déplorons toute malversation. Itanise

66. Non, jamais et du grand jamais, il faut désarmer les criminels et puis P R I S O N. Marcellin

67. La réponse est NON. Elie

68. NON! NON! NON! Je ne suis pas d'accord avec la déclaration du Premier Ministre de négocier avec les bandits. Carline

69. Je ne suis pas d'accord avec le Premier Ministre Haïtien. Franck

70. NON, non, non, non, non, non,non,non, non,non.nonMalheureusement, ce non devrait s'adresser a des gens qui font parti del'espèce humaine puisque le malheur d'un homme est le malheur de tousles hommes. Comment peut-on négocier avec des tueurs, avec desassassins, avec des voleurs quand on a la possibilité d'utiliser lapolice, la justice? Alexis, premier ministre, doyen de faculté,agronome, votre approche sur la solution au problème de l'insécuritémet en doute votre soi-disant savoir universitaire. Rorival

71. Non. Golius

72. Non ! Non ! Non ! Beatrice

73. Non. Elsie

74. NON, l'Etat ne négocie pas avec les contribuables. Pourquoi négocier avec des criminels? Jean Ludovic

75. OUI, dans le sens où les résultats vont les assujettir ou les réduire au néant. Jean Renand

76. La réponse est claire et limpide NON non non par la grande majorité. John

77. Je crois que non, le premier ministre n'as pas le droit de négocier avec les criminels et les chimères qui sèment le deuil dans la famille haïtienne, nous devons nous resserrer pour donner une réponse claire a cette déclaration méchante de sa part. Les bandits sont pour les prisons et doivent être jugés et punis conformément à la loi haïtienne. Joseph

78. Non. Nous demandons la publication de la liste des criminels avec une prime de capture sur leurs tètes. Antoine

79. Non. He's an idiot. Of course I'm being polite. Pinnacle of mediocrity! Ricky

80. Non. Astrid

81. Non. Diggan

82. My answer is NO. I live in Cap. The criminals that killed the 6 year old boy were in the prison in Okap. The people in Okap wanted them released to them [we know our judicial system] so Minustah took them to Port au Prince, big mistake. We have nothing to say to murdering mafia, why should the prime minister? I

83. je ne suis pas d'accord, et je ne vois Ça dans aucun pays. Miguel

84. Non. Elmera

85. No, the Prime Minister should not negotiate with the gangsters. Rulx

86. Non! Non! Non! H

87. Non , il n'a pas raison de négocier avec les criminels .Ils doivent être poursuivis suivant le code criminel. Laroche

88. Non on ne négocie pas avec des criminels. Jacques Édouard Alexis est un immoral et si Préval est d'accord avec lui c'est qu'il est aussi immoral. Anthony

89. Mille fois non. Pierre

90. Il est absolument impossible de négocier avec les bandits parce qu'ils sont des criminels notoires et terroristes en même temps. Comment voulez-vous négocier avec ces gens là ? Non et mille fois Non. Irvelt

91. En tant que citoyenne responsable et avisée je ne suis pas du tout d'accord avec la position du Premier Ministre haïtien. A mon avis, il faut des mesures fortes pour contrecarrer ces individus qui sèment le deuil et l'angoisse dans les familles haïtiennes. Parallèlement, il faut entreprendre des actions à caractères sociales pour soulager la couche la plus vulnérable de la population. Les autorités ont pour devoir d'utiliser tous les moyens légaux afin de garantir la sécurité publique. Marie

92. Why don't you let them negotiate with the same evelish machine they started. Wait and see what's next....Eddy

93. Non je ne suis pas d'accord avec le premier ministre. Esther

94. non non non nonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn. FEUH

95. Non, le premier Ministre a perdu sa lucidité. Nous devons nous unir pour dire Non à cette démagogie. Gerald

96. NON: Négocier avec des criminelles signifierait la faiblesse et la démission de l'Etat, ou mieux chercher a les connaitre et a les regrouper pour les utiliser plus tard a des fins politiques jusque la inavoués. Si la tache d'un président est de respecter et de faire respecter la constitution et les lois, il se doit de recourir a la force nécessaire pour mettre la main aux collets des criminelles et les amener par devant la cour de justice criminelle pour être sentencer de façon exemplaire. Dukern

97. Non. Jo-Myrtho

98. Je suis totalement oppose a cette idée, voire a la décision de négocieravec ces bandits. Sicard

99. Etant qui celui qui prône la paix, je ne vois comment me mettre a cote d'une telle déclaration criminelle. Franchement compte tenu du rang qui occupe ce Monsieur a l'échelle du pays, j'ai honte de répéter cette déclaration même en présence de mon fils. Beatrice

100. NON, je ne suis pas d'accord de négocier avec les criminels...Norma

101. Non je ne suis pas d'accord avec le premier ministre sur cette affaire de négociation avec les kidnappeurs. C'est absurde. Colbert

102. Je ne saurais être d'accord avec une telle pratique. Evelyne

103. Why should we do that these criminal. I think we should negociate how we going to kill these suckers. Perpetit

104. Ma réponse est catégorique et ferme : Non absolument Non. Sonel

105. NON, il n'est pas question de négocier avec les criminels! Cela n'a rien donné d'ailleurs....cela leur a permis d'être plus forts! Marlou

106. Non, Je ne suis pas d'accord. Pierre

107. Je ne suis pas d'avis pour qu'on négocier avec les criminels. Saint Juste

108. NON, je ne suis pas d'accord. Yamilee

109. J'ai déjà donné ma réponse. Elle est sans recours: NON et NON, NON, NON et NON encore. Edward

110. Non. Carole

111. Non pas questions de négociation avec les criminels. Ralph

112. Non. Patrice

113. Alexandra. Non

114. Non. Kathryn

115. Non. Cassy

116. Voter Je dis non a la déclaration du premier ministre. Il faut mettre une fin a cette situation. Rayette

117. Non. Berthonia

118. Je ne suis pas d'accord qu'on négocie avec les criminels. Mario

119. Non. Moi aussi, je dis non, mais est-ce suffisant? Il me semble qu'on n'a pas arrêté de dire ce mot qui semble-t-il est dénudé de sens pour les dirigeants de ce pays. Monique

120. Non. Jacqueline

121. Déclaration piètre, intempestive, lavalassienne qui doit être rejetée par tous les citoyens conscients et patriotiques. Bergitro

122. Une personne normale ne peut pas imaginer qu'un premier ministre d'aucun pays puisse négocier avec des criminels notoires, a ce qu'il parait Mr. Jacques Alexis trouve bien au niveau se de ses acolytes, il faut prier pour Haïti. Michele

123. Non. Pierre-Robert

124. Non. Jean Marie

125. Non. Denise

126. Non, je ne suis pas du tout d’accord. Marie Lourdes

127. Je ne suis pas d’accord. Claude

128. Je ne suis pas d’accord avec le premier ministre Alexis pour négocier avec les criminels. Beausejour

129. Non. Emmanuel

130. Non, il n’a aucun droit de négocier avec les criminels. Claude
N.B. Pour commentaires et reactions priere de contacter :


Stanley Lucas
centurionlucas@gmail.com

Haiti: Survey Analysis of the Haitian Government Security Policy

Survey Analysis of the Haitian Government Security Policy
­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­_____________________________________________________

Haiti Survey

Question: Do you agree with the Prime Minister that the country should negotiate with Criminals?

Background: On November 30, the question was sent by email to more than 51,000 people. The participants are from various mailing lists and are primarily in Haiti. Less than 2% of the respondents are from the Haitian Diaspora. Respondents were from all walks of life: mothers, young people, women, unionized workers, students, farmers, journalists, businessmen, parliamentarians, militants of political parties, government officials, and others. Exactly 5,000 participants answered this question by December 5 (many more submitted answers subsequently, however, one of the other main goals was to provide a timely response). Of the respondents, 4,999 answered no. The main goal of this survey was to take the pulse of the community, albeit the more politically aware segment of the community.

For those who answered, the issue of security was the clear top priority. The majority of participants reject Prime Minister Alexis' outlined approach toward the criminals. The replies evoke the citizens' rising frustration as well as Mr. Alexis' loss of credibility among this segment of the population. Overall, respondents evoked a strong sense of frustration with Mr. Alexis, and expressed the desire for the Prime Minister's departure or dismissal. The replies were sincere, direct, emotional, and reflect the rising tension in Haiti.

Respondents also firmly believe that there are close and associative ties between certain members of the Government and the criminals. Many are convinced that these gangsters enjoy a "political" immunity which prevents institutions such as the police and courts from doing their job.

Most importantly, the participants expect swift and significant changes as indicated by several questions posed:

* Is the President going to change his Cabinet and put more emphasis on the issue of the security of lives and of property?

* Will President Preval replace Mr. Alexis because of his incapacity just like President Bush replaced the Defense Secretary Rumsfeld as a result of the challenges in Iraq and of the pressure of public opinion?

* Hasn't Mr. Alexis and some other nonperforming Ministers lost their credibility in the eyes of the parliamentarians?

* Will the parliamentarians ask Mr. Preval to replace Mr. Alexis?

* Will the parliamentarians use their constitutional powers to dismiss Mr. Alexis by a veto?

* Will there be a confrontation between Mr. Alexis and the social and political groups in the country in light of the Prime Minister's careless attitude?

* How will the political parties which want to re-conquer the voters react towards Mr. Alexis?

Let’s share with you the first 130 responses. For security reasons we are sharing only the first names:

Responses of the first 130 participants

1. Négociations avec les bandits? NON. Robenson

2. Non. Jude

3. Ma réponse est NON, On ne négocie pas avec les criminels à moins qu'on soit un des leurs. Perin

4. Mon réponse est : NON, Je ne suis pas d'accord avec le Premier Ministre que le
pays doit négocier avec les criminels. Jérôme

5. Non je ne suis pas d'accord avec le premier ministre Alexis. Cette déclaration marque la faillite de l'Etat. L'Etat n'existe plus! Jean Edgard

6. Je ne suis pas d’accord. NON. Ghislaine

7. Ma réponse est carrément non. Un non ferme et appuyé. Quel citoyen digne de ce nom peut appuyer une telle politique ? Je plaide faveur de la mobilisation de mes compatriotes ainsi que de nos vrais amis étrangers pour obliger les dirigeants étatiques à prendre leurs responsabilités et changer de pratiques à tous les niveaux. Quesnel

8. Non, Mille fois non!!!! Les criminels, on les fusille (spécialement ceux-là) Guillaume

9. C'est sur que non ! Partout les terroristes sont des terroristes. On doit les traiter comme des criminels

10. Non, on ne doit pas négocier avec bandits. Ils doivent aller en prison ou au cimetière. Cleus

11. Non : je n'appuie pas le premier Ministre Alexis dans sa déclaration. Brunine

12. NON Patrick

13. Such thing never hapened in any serious government. I am totally against that. Manistin

14. La réponse est NON. Parnell

15. Non. Marie Helene

16. Non. Brulan

17. On ne négocie pas avec des criminels. Kettelie

18. Jacques Edouard est un vrai taliban enveloppe dans Al-Quiaieda caraïbes. John

19. NON JE NE SUIS PAS D'ACCORD. Oswald

20. NON IL N"EN EST PAS QUESTION !! ! Elsie

21. NON. Martine

22. No. L

23. Je ne suis pas d' accord avec le premier ministre. On négocie avec des délinquants pas avec ces san manman

24. No. Stephanie

25. No. Alix

26. . Non je ne suis pas d'accord. Alain

27. NO. Herbert

28. No. Alexander

29. No. Carl F

30. No. Charles

31. NO. Patrice

32. Non je ne suis pas d'accord. Marcel

33. Non. Pierre-Hugues

34. Non. Elsie

35. Non. Marcel

36. Non. Laurore

37. NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO. Alex

38. Je désapprouve la déclaration du premier ministre Alexis. Nicole

39. Non. Han

40. Non. Louis P

41. Non. MLS0874

42. Je ne suis absolument pas d'accord de négocier avec ces bandits/terroristes. On ne négocie pas avec ces crapules. Garthe

43. Une chose qui n'est pas juste de négocier avec les criminels. Non pour la négociation! Raymond

44. Non je ne suis pas d accord de négocier avec les bandits.1) le gouvernement détient des liens privilégies avec ces bandits.2) Qu’apportent ces bandits sur cette prétendue table de négociations.3)Je pense que ces bandits sont a la solde du gouvernement et que ca fait leur affaire puisque le gouvernement les utilise comme un outil de pression contre ceux qu’il (le gouvernement en place) pense être leur ennemi politique.4)Aussi les bandits jouissent de la complicité et de l'impunité du gouvernement. Reggi

45. Un gros NON a moins qu'on soit cingle comme les gens au pouvoir. Wilhelm

46. Non. Diggan

47. Non. Elie

48. NON ....PAS D'ACCORD AVEC LE PM ALEXIS SUR NEGOCIATIONS AVEC CHIMERES--CE SONT DES CRIMINELS. Alice

49. NON,NON ET NON. Reginald

50. La déclaration du premier est révoltante. Je le croyais plus brillant et plus humain que ça. Je responds tout implement non. Louis Charles

51. Selon mon opinion, NON le gouvernement ne devrait pas négocier avec des bandits. Cela prouve à l'opinion publique que le gouvernement n'est pas tout à fait au contrôle de cette situation. En effet, si on base sur la logique tout criminel doit payer pour les actes. Monique

52. Non à Alexis, Chimère en Cravate. pas question de négociation. Lune

53. Non, il n'a aucun droit de négocier avec les criminels. C'est illégal, scandaleux, et révoltant. Claude

54. Pas de négociation avec des criminels. Georges

55. Bien sûr que non!!!!! Christian

56. Non. Marline

57. Non. Edward

58. Je ne suis pas d'accord avec le Premier ministre. Emmanuel

59. Non. Gefrand

60. Non, Non, Non. Ghislaine

61. Je ne suis pas d'accord avec le premier ministre au sujet de la négociation avec les kidnappeurs. Calixte

62. Non. Jacinthe

63. En aucun cas il n'est pas bon de négocier avec les criminels. Doreus

64. Non je ne suis pas d’accord. Lolo

65. Non je ne suis pas d'accord, le pays est a nous autres Haïtiens. Pas a un groupes de personnes particulières ou une minorité assez faible doit diriger notre pays n'est pas a vendre, nous autres haïtiens, nous déplorons toute malversation. Itanise

66. Non, jamais et du grand jamais, il faut désarmer les criminels et puis P R I S O N. Marcellin

67. La réponse est NON. Elie

68. NON! NON! NON! Je ne suis pas d'accord avec la déclaration du Premier Ministre de négocier avec les bandits. Carline

69. Je ne suis pas d'accord avec le Premier Ministre Haïtien. Franck

70. NON, non, non, non, non, non,non,non, non,non.non
Malheureusement, ce non devrait s'adresser a des gens qui font parti de
l'espèce humaine puisque le malheur d'un homme est le malheur de tous
les hommes. Comment peut-on négocier avec des tueurs, avec des
assassins, avec des voleurs quand on a la possibilité d'utiliser la
police, la justice? Alexis, premier ministre, doyen de faculté,
agronome, votre approche sur la solution au problème de l'insécurité
met en doute votre soi-disant savoir universitaire. Rorival

71. Non. Golius

72. Non ! Non ! Non ! Beatrice

73. Non. Elsie

74. NON, l'Etat ne négocie pas avec les contribuables. Pourquoi négocier avec des criminels? Jean Ludovic

75. OUI, dans le sens où les résultats vont les assujettir ou les réduire au néant. Jean Renand

76. La réponse est claire et limpide NON non non par la grande majorité. John

77. Je crois que non, le premier ministre n'as pas le droit de négocier avec les criminels et les chimères qui sèment le deuil dans la famille haïtienne, nous devons nous resserrer pour donner une réponse claire a cette déclaration méchante de sa part. Les bandits sont pour les prisons et doivent être jugés et punis conformément à la loi haïtienne. Joseph

78. Non. Nous demandons la publication de la liste des criminels avec une prime de capture sur leurs tètes. Antoine

79. Non. He's an idiot. Of course I'm being polite. Pinnacle of mediocrity! Ricky

80. Non. Astrid

81. Non. Diggan

82. My answer is NO. I live in Cap. The criminals that killed the 6 year old boy were in the prison in Okap. The people in Okap wanted them released to them [we know our judicial system] so Minustah took them to Port au Prince, big mistake. We have nothing to say to murdering mafia, why should the prime minister? I

83. je ne suis pas d'accord, et je ne vois Ça dans aucun pays. Miguel

84. Non. Elmera

85. No, the Prime Minister should not negotiate with the gangsters. Rulx

86. Non! Non! Non! H

87. Non , il n'a pas raison de négocier avec les criminels .Ils doivent être poursuivis suivant le code criminel. Laroche

88. Non on ne négocie pas avec des criminels. Jacques Édouard Alexis est un immoral et si Préval est d'accord avec lui c'est qu'il est aussi immoral. Anthony

89. Mille fois non. Pierre

90. Il est absolument impossible de négocier avec les bandits parce qu'ils sont des criminels notoires et terroristes en même temps. Comment voulez-vous négocier avec ces gens là ? Non et mille fois Non. Irvelt

91. En tant que citoyenne responsable et avisée je ne suis pas du tout d'accord avec la position du Premier Ministre haïtien. A mon avis, il faut des mesures fortes pour contrecarrer ces individus qui sèment le deuil et l'angoisse dans les familles haïtiennes. Parallèlement, il faut entreprendre des actions à caractères sociales pour soulager la couche la plus vulnérable de la population. Les autorités ont pour devoir d'utiliser tous les moyens légaux afin de garantir la sécurité publique. Marie

92. Why don't you let them negotiate with the same evelish machine they started. Wait and see what's next....Eddy

93. Non je ne suis pas d'accord avec le premier ministre. Esther

94. non non non nonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn. FEUH

95. Non, le premier Ministre a perdu sa lucidité. Nous devons nous unir pour dire Non à cette démagogie. Gerald

96. NON: Négocier avec des criminelles signifierait la faiblesse et la démission de l'Etat, ou mieux chercher a les connaitre et a les regrouper pour les utiliser plus tard a des fins politiques jusque la inavoués. Si la tache d'un président est de respecter et de faire respecter la constitution et les lois, il se doit de recourir a la force nécessaire pour mettre la main aux collets des criminelles et les amener par devant la cour de justice criminelle pour être sentencer de façon exemplaire. Dukern

97. Non. Jo-Myrtho

98. Je suis totalement oppose a cette idée, voire a la décision de négocier
avec ces bandits. Sicard

99. Etant qui celui qui prône la paix, je ne vois comment me mettre a cote d'une telle déclaration criminelle. Franchement compte tenu du rang qui occupe ce Monsieur a l'échelle du pays, j'ai honte de répéter cette déclaration même en présence de mon fils. Beatrice

100. NON, je ne suis pas d'accord de négocier avec les criminels...Norma

101. Non je ne suis pas d'accord avec le premier ministre sur cette affaire de négociation avec les kidnappeurs. C'est absurde. Colbert

102. Je ne saurais être d'accord avec une telle pratique. Evelyne

103. Why should we do that these criminal. I think we should negociate how we going to kill these suckers. Perpetit

104. Ma réponse est catégorique et ferme : Non absolument Non. Sonel

105. NON, il n'est pas question de négocier avec les criminels! Cela n'a rien donné d'ailleurs....cela leur a permis d'être plus forts! Marlou

106. Non, Je ne suis pas d'accord. Pierre

107. Je ne suis pas d'avis pour qu'on négocier avec les criminels. Saint Juste

108. NON, je ne suis pas d'accord. Yamilee

109. J'ai déjà donné ma réponse. Elle est sans recours: NON et NON, NON, NON et NON encore. Edward

110. Non. Carole

111. Non pas questions de négociation avec les criminels. Ralph

112. Non. Patrice

113. Alexandra. Non

114. Non. Kathryn

115. Non. Cassy

116. Voter Je dis non a la déclaration du premier ministre. Il faut mettre une fin a cette situation. Rayette

117. Non. Berthonia

118. Je ne suis pas d'accord qu'on négocie avec les criminels. Mario

119. Non. Moi aussi, je dis non, mais est-ce suffisant? Il me semble qu'on n'a pas arrêté de dire ce mot qui semble-t-il est dénudé de sens pour les dirigeants de ce pays. Monique

120. Non. Jacqueline

121. Déclaration piètre, intempestive, lavalassienne qui doit être rejetée par tous les citoyens conscients et patriotiques. Bergitro

122. Une personne normale ne peut pas imaginer qu'un premier ministre d'aucun pays puisse négocier avec des criminels notoires, a ce qu'il parait Mr. Jacques Alexis trouve bien au niveau se de ses acolytes, il faut prier pour Haïti. Michele

123. Non. Pierre-Robert

124. Non. Jean Marie

125. Non. Denise

126. Non, je ne suis pas du tout d’accord. Marie Lourdes

127. Je ne suis pas d’accord. Claude

128. Je ne suis pas d’accord avec le premier ministre Alexis pour négocier avec les criminels. Beausejour

129. Non. Emmanuel

130. Non, il n’a aucun droit de négocier avec les criminels. Claude

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