It is during our darkest moments that we must focus to see the light

Mwen se echantiyon yon ras kap boujonnen men ki poko donnen

Si vous voulez vous faire des ennemis essayer de changer les choses

Showing posts with label State Department DRL. Show all posts
Showing posts with label State Department DRL. Show all posts

Monday, April 1, 2019

Jean Bertrand Aristide et l’Assassinat du Journaliste Jean Dominique par Stanley Lucas


Cela fait cinq ans que le Juge d’instruction Ivickel Dabresil a identifié les neuf personnes proches d’Aristide responsables de l’assassinat du journaliste Jean Dominique. Ce sont : Annette Auguste alias Sô Ann, Gabriel Harold Sévère, Frantz Camille alias Franco Camille, Jeudy Jean Daniel, Markenton Michel, Mérité et Dimsley Milien, Toussaint Mercidieu figurent sur la liste des inculpés*.

Malgré le rapport du juge d’instruction, rien n’a été fait en trois ans. Aristide continue de menacer les juges se faisant accompagner d’un petit groupe de chimères violents à chaque convocation. La dernière a été en Mars 2017 où il a dû comparaitre devant le Juge Dorin dans une affaire de kidnapping e de blanchiment impliquant son chef de garage Anthony Nazaire.

Le travail de la justice haïtienne pour arriver à ces conclusions n’a pas été facile. Les juges ont été l’objet de menaces de mort et d’intimidations pendant 17 années. Nombreux sont les juges qui pour rester en vie ont préfère abandonner l’enquête sur ce crime.  Revisitons ensemble ce parcours tortueux e dangereux de l’enquête sur l’assassinat de Jean Dominique.

Jean Dominique est un journaliste Haïtien qui a été assassine le 3 Avril 2000.  Pendant treize ans les juges et commissaires du gouvernement qui se sont succèdes sur son dossier judiciaire ont été victimes d’intimidations, de sabotages et de démissions forcées par le pouvoir exécutif sous le contrôle du mouvement Lavalas de Jean Bertrand Aristide. Nous ne parlerons des témoins exécutes. Le débat de cette semaine n'est pas politique mais plutôt judiciaire. Malgré la propagande, les efforts de relations publiques dans la presse étrangère et les diversions de terrain la question centrale demeure: Qui a tué le journaliste Jean Dominique?

Pour la première fois en vingt-cinq ans un juge d’instruction de la république d’Haïti Ivickel Dabresil a le courage de mener son enquête et traduire plusieurs responsables de l’état devant la justice pour répondre à ses questions en vue de trouver les assassins de Jeando. C’est dans ce contexte que le juge avait convoqué l’ancien Premier Ministre Yvon Neptune, l’ancien Sénateur Danny Toussaint, l’ancien Président de la république René Préval ainsi que Jean Bertrand Aristide qui occupait la même fonction.

Toussaint, Neptune et Préval avaient répondu paisiblement et séparément à la convocation du juge d’instruction. Chacun a répondu pendant des heures aux questions du juge.

Le Mercredi 8 Mai 2013 était le jour de la première convocation de l’ancien Président Jean Bertrand Aristide. Dès le 7 Mai Aristide envoya quelques-uns de ses chimères pour intimider la justice haïtienne et le juge d’instruction dans les rues de Port-au-Prince à travers des actions violentes.

Le juge d’instruction avec courage ne céda pas aux pressions, menaces et aux actes d’intimidations et de violences des chimères d’Aristide et de son parti Fanmi Lavalas. Le 8 Mai 2013 accompagné de plusieurs centaines de ses chimères Aristide fut obligé de se rendre aux bureaux du juge Dabresil ou pendant plusieurs heures il a dû répondre aux questions. Encore une fois les supporters d’Aristide utilisèrent la violence. Le journaliste Frantz Henry Délice de Radio Télé Ginen fut l’une des victimes des chimères de Jean Bertrand Aristide le 8 Mai 2013. Cet acte de violence contre un membre de la presse a été condamné par l’Association Nationale des Médias Haïtiens (ANMH). 

Bien que nous condamnions cette attitude violente de Jean Bertrand Aristide et de ses partisans de Fanmi Lavalas nous n'affirmons pas qu'il soit coupable ou innocent dans cette affaire. C'est à la justice haïtienne d'identifier les coupables et le juge Dabresil a déjà franchi la première étape.

Rappelons que Jean Bertrand Aristide pendant la période de 2000-04 figurait parmi les 38 présidents considérés comme prédateurs de la presse à travers le monde. Les détails sur la répression du gouvernement de Jean Bertrand Aristide et de son parti Fanmi Lavalas sur les journalistes et la presse haïtienne en général durant cette période sont horrifiques. Durant cette période Haïti était 169èm au classement mondial sur la liberté de la presse comparativement à aujourd'hui 2013 où le pays est classe 52èm.

Le Sénateur de la république d'Haïti Irvelt Chery avait aussi à l'époque envoyé une lettre aux différents commissaires du gouvernement pour leur demander de mettre l'action publique en mouvement pour les différents crimes commis.


Jusqu'à présent les gangs lavalas continuent de tuer des journalistes Haïtiens. La dernière victime a été le journaliste Vladjimir Legagneur assassiné par un gang de Gran Ravinn contrôle par le Député Lavalas Printemps Belizaire selon le témoignage d'un des chefs de gangs sur Scoop FM.  

Nous souhaitons finalement que la justice haïtienne trouvera et punira les coupables qui ont assassines les journalistes haïtiens Jean Dominique, Brignol Lindor, Jacques Roche et Georges Honorat et ne cédera pas aux menaces des anarchistes. Le peuple Haïtien souhaite que la Commission Interaméricaine des Droits de l’Homme ne restera pas silencieux sur ces crimes politiques et les violences politiques récentes d’Haïti.


* Il y a un média, dans sa complicité pour protéger les crimes d’Aristide, efface des articles et documents publies. Aristide a aussi employé deux hackers pour saboter des liens compromettants sur le net.

Wednesday, March 28, 2018

28 Mars 1995: Assassinat de Mireille Durocher Bertin par Jean Bertrand Aristide et ses chimères du mouvement lavalas, 23 ans après pas un brin de justice !



"Ignorer les crimes, renoncer à la justice ou tolérer l'intolérable c'est renier la démocratie, c'est la réduire à un simulacre."

Le 28 Mars 1995 Mireille Durocher Bertin était assassine par des officiels et des sbires au service du gouvernement Haïtien. Apres vingt trois ans les informations publiées et les témoignages disponibles prouvent que les ordres pour l'exécution de Me. Mireille Durocher Bertin venait directement du Président constitutionnel de la république Jean Bertrand Aristide. C'était une exécution brutale. Cette avocate mère de 4 enfants en bas âge fut tuée par plus de vingt balles. Eugene Junior Ballairgeau, son client, qui était aussi dans le véhicule crible de balles, perdait aussi la vie. Le jour de son exécution Me. Mireille Durocher Bertin, était enceinte. Vingt trois ans après pas un mot des représentants du barreau des avocats, pas un mot des organisations de femmes et pas un mot des organisations de droits humains. Ont-ils peur d’être assassines ?

Mireille Durocher était un avocat brillant et une militante politique très active. Patriote, elle luttait pour le respect des lois de la république et de la constitution d'Haïti. Avec une grande conscience sociale, elle défendait gratuitement dans les tribunaux haïtiens les cas des petites marchandes et des démunies. En 1994, cette patriote était la seule femme à se rendre sur le Champ de Mars pour déposer une gerbe de fleurs aux pieds des héros de l’indépendance pour protester contre le débarquement illégal des militaires étrangers sur le sol Haïtien.

Mireille Durocher Bertin publiquement plaidait pour le respect de la souveraineté nationale violée par le débarquement des militaires américains sollicite par Jean Bertrand Aristide pour le réinstaller au pouvoir. Aristide sans l’aval du parlement avait signe pour autoriser ce débarquement. Il avait qualifie cet acte de trahison de « ti dezod ». L’assassinat de Bertin fut ordonne parce qu’elle voulait que les instances de notre république, particulièrement que le Président Jean Bertrand Aristide explique au peuple, les provisions constitutionnelles  et légales qui lui ont permis de solliciter officiellement l'intervention des militaires des Etats Unis pour le réinstaller au pouvoir en Haïti?

Aristide savait que les actions de Mireille Durocher Bertin contre l'illégalité de sa demande officielle d'intervention militaire de 1994 ainsi que sa demande d'imposition d'un embargo économique sur le pays aboutiraient à son jugement pour trahison par devant les tribunaux Haïtiens. Les actes poses par lui étaient inconstitutionnels et illégaux.  Aristide risquait d'être convoque par devant la Haute Cour de Justice pour être juge pour trahison et crimes contre l'humanité pour les enfants, femmes et citoyens tues par son embargo économique. Un risque qu'il n'allait pas prendre. Il décida d’exécuter sauvagement Me. Bertin.

C'est dans ce contexte que le complot pour assassiner Mireille Durocher Bertin prit naissance au Palais National. Aristide voulait fermer définitivement la bouche de cette avocate qui gênait et fermer le débat public et légal sur sa trahison qui mènerait au lancement d'une procédure judiciaire contre lui, le Président de la république. Le complot pour la tuer fut orchestre au Palais National. La responsabilité pour exécuter le plan fut déléguée au Ministre de l'Intérieur, Mondésir Beaubrun https://www.washingtonpost.com/archive/politics/1995/04/04/haiti-minister-now-suspect-in-murder-plot/4314ee5a-5db2-4614-98dc-d3727f96d28a/?utm_term=.14a8a4a9f3d3   
 Ceci sera confirme par une enquête du FBI qui fut déclassifiée par le Congres des Etats Unis et qui est disponible sur l’internet. Cette enquête révélera que le ministre de l'intérieur Beaubrun, le coordonnateur de l'assassinat de Madame Bertin, suivait à la lettre les instructions données par Jean Bertrand Aristide. L'exécution de Bertin provoqua un scandale et une révolte.

Suite à l'enquête du FBI, à cause de son implication directe dans l'assassinat de Bertin, sur demande de l'administration américaine, le Ministre Mondésir Beaubrun fut mis à l’écart durant la visite officielle du Président Clinton en Haïti le 31 Mars 1995. L'enquête du FBI identifia les frères Eddy et Patrick Moise comme les tueurs employés par le ministère de l'Intérieur pour exécuter Mireille Durocher Bertin. Les armes utilisées par les frères Moise ont été enregistrées et fournies par le ministère de l'Intérieur ainsi qu'un véhicule tout Isuzu Trooper de couleur grise. Les frères Moise avaient aussi en leur possession des cartes d'identification du ministère de l’Intérieur. Pour plus de détails sur l'enquête du FBI en français klike la: https://www.slideshare.net/Stanleylucas/recit-de-lassassinat-de-mireille-durocher-bertin-le-28-mars-1995-source-bob-corbett-list  en anglais klike la : http://www.haitian-truth.org/account-of-the-assassination-of-mireille-durocher-bertin-on-march-28-1995-2/   

La découverte des enquêteurs sur la responsabilité des frères Moise dans l'assassinat de Bertin suscita des inquiétudes au palais à cause des demandes d’informations additionnelles du Congres des Etats Unis. Pour éviter des complications pour Aristide aux Etats Unis, il fut décidé au Palais National d'exécuter immédiatement les deux frères Moise pour éviter qu'ils parlent devant un tribunal.

L'exécution des frères Moise aura lieu à Leogane. Ils furent assassinés à 5:00 a.m. par le régime alors qu'ils étaient dans leur sommeil, selon les témoignages de policiers de la Swatt team. Le trio tout puissant qui contrôlait la police à l'époque coordonnait l'exécution. Les instructions données par le palais pour cette opération de la SWATT team se résumait ainsi: sous aucun prétexte, il ne faut  absolument pas ramener pas les frères Moise vivants!

Le ministre de la justice en poste à l’époque, Jean Joseph Exume, qui était l'un des conseillers privilégiés d'Aristide en sait long sur cette affaire. Il n'a jamais rien dit et il fait toujours semblant, prenant son air de militant de droits humains. Il veut se faire oublier ou peut être a-t-il peur de parler pour ne pas connaitre le sort de Venel Joseph ou Oriel Jean? Ou encore avait-il un rôle similaire que celui de Mondesir Beaubrun? Les militants de droits humains qui font de la politique en Haïti refusent de publier des rapports sur ce crime qui implique leurs amis.

Vingt trois ans après aucune condamnation, aucun questionnement du secteur droits humains et aucune procédure judiciaire, aucun communique du Barreau comme si Me. Mireille Durocher Bertin était un chien.

La grande question, pourquoi, restée sur les lèvres, relancée par Anne-Rose Schoen à travers onze questions. Schoen dit, en effet, Maitre Mireille Durocher Bertin, personnage public, était encouragée dans ces prises de position par plusieurs secteurs de la société haïtienne. Cependant ces mêmes entités n’ont pas jugées bon de condamner sa mort. Elle se demande : POURQUOI ?

Maitre Mireille Durocher Bertin, femme, épouse et mère de 4 enfants, n’a pas non plus bénéficiée de la condamnation de son assassinat par les multiples associations féminines, qui militent sur le terrain et dont elle a été la fondatrice d’au moins une. Ces organisations des femmes vaillantes, ces « potomitan » de la société sont restées muettes jusqu’à aujourd’hui? Elle se demande : POURQUOI ?

Maitre Mireille Durocher Bertin, de son vivant, travaillait souvent gratuitement pour les associations de marchandes, leur expliquant leurs droits et devoirs et défendant certaines gratuitement au Parquet de Port-au-Prince. Pourtant, aucune association ou fédération du secteur informel n’a élevé la voix pour condamner ce crime crapuleux. Elle se demande : POURQUOI ?

Maitre Mireille Durocher Bertin défendait passionnément les droits de l’enfant, s’opposant contre le fléau du système restavek, contre les abus dans les procédures anarchiques d’adoption en Haïti et contre le trafic de ce que nous appelons aujourd’hui communément l’Esclavage Moderne. Bizarrement, aucune association de droit de l’homme, de la femme ou de l’enfant n’a jugé bon, même 18 années après, de condamner ce qui est arrivé. Elle se demande : POURQUOI ?

Maitre Mireille Durocher Bertin, avocat, membre du Barreau de l`Ordre des Avocats de Port-au-Prince, a été assassinée avec son client en plein exercice de ses fonctions, jusqu'à date, le Barreau est resté silencieux…Elle se demande : POURQUOI ?

La société civile, ainsi que ses associations qui œuvrent pour l’installation de la démocratie, pour un progrès socio-économique et pour un état de droit pour tous et toutes en Haïti, n’a pas non plus montré son désaccord par rapport à cette disparition subite et terrible d’une force vive et engagée de son propre milieu. Elle se demande : POURQUOI ?

Les associations patronales, qui comptaient et qui comptent toujours parmi elles beaucoup de clients de Maitre Durocher Bertin, ont préféré de mettre leurs têtes dans le sable ou imiter la fameuse sculpture des trois singes qui ne voient rien … n’entendent rien… ne disent rien…Elle se demande : POURQUOI?

Une organisation internationale de défense des droits de l’homme me déclarait par la suite et durant une conversation téléphonique en décembre 1995, qu’elle ne comptait pas défendre le cas d’un des amis de Mireille incarcéré illégalement, car il avait et je cite « politiquement la mauvaise couleur » et qu’elle ne pouvait pas se permettre en 1995 de défendre le cas d’un mulâtre en Haïti…Elle se demande : POURQUOI ?

Partout ou le nom de Maitre Mireille Durocher Bertin surgit, les intervenants utilisent l’exemple à leurs propres fins ou tournent tout simplement le dos, en déclarant qu’elle aurait dû s’arrêter … se taire, quand elle en avait encore le temps. Elle se demande: POURQUOI ?
Personne ne s’est mis à manifester au grand jour en criant « plus jamais » - comme cela a été le cas pour tant d’autres victimes d’un crime violent. Elle se demande : POURQUOI ?

Nous sommes restés muets et nous restons toujours muets, prétendant que cet assassinat n’a jamais eu lieu ou qu’il fait partie de la chronique des faits divers. Elle se demande : POURQUOI ?

Anne-Rose Schoen ajoute: "Ce sont là mes réflexions personnelles sur une situation qui perdurent depuis trop longtemps … 18 longues années, et qui devrait, à mon sens, révolter la conscience de plus d’un. Quelle organisation, institution, association, fédération privée ou publique condamnera finalement l’assassinat de cet être humain, commis il y a 18 années déjà ? Lui rendant ce minimum de respect dont toute personne devrait bénéficier de nos jours ? Tous les crimes se doivent d’être condamnés, y compris celui de Mireille et celui-ci ne l’a toujours pas été… Je me demande : POURQUOI ?

Quelqu’un pourra-t-il un jour lui répondre … ? POURQUOI ?"

Les victimes, Mireille Durocher Bertin, Brignol Lindor, Pasteur Antoine Leroy, Jacques Fleurival, Jacques Roche, Sénateur Yvon Toussaint, Michel Gonzalez, le General Mayard, Jean Dominique, le Père ti Jean et tant d'autres mentionnes dans la lettre du Sénateur Irvelt Chery, klike la: http://www.haitian-truth.org/liste-partielle-des-victimes-et-magouilles-du-lavalas/  Sans parler d’Oriel Jean qui comme confident et chef de la sécurité de Jean Bertrand Aristide a fait des révélations sur les crimes commis. Pour vérifier : https://www.youtube.com/watch?v=GYNTDPp7Ugw  

Ces citoyens font partie d'une longue liste de citoyens exécutés par lavalas pour des raisons politiques. Leurs familles souhaitent des actions de la justice malgré les menaces qui pèsent encore sur eux aujourd’hui. Les bourreaux lavalas sont toujours puissants, ils continuent de défier les autorités judiciaires, de marcher et de cracher sur les victimes. Nombreux sont ceux qui ont constate avec quelle facilite ces bourreaux ont tue devant sa résidence l'ancien gouverneur de la Banque Centrale Venel Joseph qui voulait témoigner devant un tribunal de la Floride aux Etats Unis sur la corruption de Jean Bertrand Aristide dans l'administration publique d'Haïti!  Son fils Patrick Joseph a fourni des détails qui ont déjà conduit a la mise en prison de plusieurs corrompus du mouvement lavalas.

Que faire? Pour qu'il y ait justice devons-nous conforter et sécuriser les familles victimes et les témoins ? Devons-nous travailler pour que la reforme de la justice et l'égalité des citoyens devant la loi devienne une réalité ? Est-ce qu’il faut se battre pour traduire les bourreaux devant les tribunaux?

Mireille Durocher Bertin que la terre te soit légère! Ton combat pour la justice le respect des lois et de notre constitution continue vingt trois ans après.