Reporters Without Borders expressed shock today at the "brutal murder" of the correspondent of the weekly paper Haïti Progrès, Johnson Edouard, in the northwestern city of Gonaïves on 12 April.
"He may have been killed because of his work, the press freedom organisation said, noting that "Haiti is still one of the most dangerous countries for journalists in the Americas." Edouard was also a local official of the Fanmi Lavalas party.Gunmen broke into his home while he was sleeping and shot him in the head and chest before escaping through a window. A party official said he had been "executed" and claimed it was "not an isolated crime."Freelance photographer Jean-Rémy Badiau was shot dead at his home in Martissant, a southern suburb of the capital, Port-au-Prince, on 19 January after taking pictures of gang members.---------
UN DEUXIÈME JOURNALISTE ASSASSINÉ DEPUIS LE DÉBUT DE L'ANNÉE
Reporters sans frontières exprime son horreur après l'assassinat du correspondant de l'hebdomadaire Haïti Progrès et porte-parole local du parti Fanmi Lavalas, Johnson Edouard, dans la nuit du 12 au 13 avril 2007, dans la ville des Gonaïves (nord-ouest du pays)."Nous sommes choqués par la mort brutale de ce journaliste. Haïti reste l'un des pays les plus dangereux pour les professionnels des médias sur le continent. Au-delà de l'engagement politique de Johnson Edouard, nous ne pouvons pas exclure qu'il ait été assassiné pour son travail", a déclaré l'organisation. Des hommes armés se sont introduits au domicile du journaliste et ont tiré plusieurs coups de feu dans sa tête et son thorax pendant son sommeil avant de prendre la fuite par une fenêtre. Les services de police chargés de l'enquête n'ont pas encore pu identifier les auteurs et les motivations de cet assassinat qui intervient moins de deux mois après celui de Jean-Rémy Badiau. Photographe indépendant, il avait été tué par balles à son domicile de Martissant, dans la banlieue sud de Port-au-Prince, quelques jours après avoir pris des photos des membres d'un gang."Il ne s'agit pas d'un crime isolé. Johnson Edouard a été exécuté", a déclaré David François, un responsable régional de Fanmi Lavalas aux Gonaïves.-------------
SEGUNDO PERIODISTA ASESINADO DESDE EL COMIENZO DEL AÑO
Reporteros sin Fronteras manifiesta su horror ante el asesinato de Johnson Edouard, corresponsal del semanario Haïti Progrès y portavoz local del partido Fanmi Lavalas, ocurrido en la noche del 12 al 13 de abril de 2007, en la ciudad de Gonaïves (noroeste del país). "Nos sentimos conmocionados por la brutal muerte de este periodista. Haití sigue siendo uno de los países más peligrosos del continente para los profesionales de los medios de comunicación. Al margen del compromiso político de Johnson Edouard, no podemos excluir que le hayan asesinado por su trabajo", ha declarado la organización.Unos hombres armados penetraron en el domicilio del periodista y le dispararon varias veces mientras dormía en la cabeza y en el tórax, huyendo posteriormente por una ventana. Los servicios de policía encargados de la investigación todavía no han podido identificar a los autores, ni los motivos del asesinato, que se ha producido dos meses después del de Jean-Rémy Badiau, un fotógrafo independiente al que mataron a disparos en su domicilio de Martissant, en el suburbio sur de Puerto Príncipe, pocos días después de que fotografiara a los miembros de una banda.
"No se trata de un crimen aislado. Johnson Edouard ha sido ejecutado", ha declarado David François, uno de los responsables locales de Fanmi Lavalas en Gonaïves.
Monday, April 16, 2007
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