It is during our darkest moments that we must focus to see the light

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Si vous voulez vous faire des ennemis essayer de changer les choses

Saturday, May 11, 2013

Jean Bertrand Aristide et l’Assassinat du Journaliste Jean Dominique par Stanley Lucas



Jean Dominique est un journaliste Haitien qui a ete assassine le 3 Avril 2000.  Pendant treize ans les juges et commissaires du gouvernement qui se sont succedes sur son dossier judiciaire ont ete victimes d’intimidations, de sabotages et de démissions forcées par le pouvoir exécutif. Nous ne parlerons des témoins exécutes, klike la: http://www.alterpresse.org/spip.php?article14345  Le débat de cette semaine n'est pas politique mais plutôt judiciaire. Malgré la propagande, les efforts de relations publiques dans la presse étrangère et les diversions de terrain la question centrale demeure: Qui a tué le journaliste Jean Dominique?



Pour la premiere fois en vingt cinq ans un juge d’instruction de la république d’Haiti Ivickel Dabresil a le courage de mener son enquête et traduire les responsables devant la justice. C’est dans ce contexte que le juge a convoque l’ancien Premier Ministre Yvon Neptune, l’ancien Sénateur Danny Toussaint, l’ancien President de la république Rene Preval ainsi que Jean Bertrand Aristide qui occupait la meme fonction.

Toussaint, Neptune et Preval ont repondu paisiblement et séparément a la convocation du juge d’instruction. Chacun a repondu pendant des heures aux questions du juge.

Le Mercredi 8 Mai 2013 etait le jour de la convocation de l’ancien President Jean Bertrand Aristide. Des le 7 Mai Aristide envoya quelques uns de ses chimères pour intimider la justice haitienne et le juge d’instruction dans les rues de Port-au-Prince a travers des actions violentes, pour plus de détails klike la: http://lematinhaiti.com/contenu.php?idtexte=35715&idtypetexte=  

Le juge d’instruction avec courage ne ceda pas aux pressions et aux actes d’intimidations et de violences des chimeres d’Aristide et de son parti Fanmi Lavalas. Le 8 Mai 2013 acccompagne de plusieurs centaines de ses partisans Aristide fut obligé de se rendre aux bureaux du juge Dabresil ou pendant plusieurs heures il a du repondre aux questions. Encore une fois les supporters d’Aristide utiliserent la violence. Le journaliste Frantz Henry Delice de Radio-Tele Ginen fut l’une des victimes des chimeres de Jean Betrand Aristide le 8 Mai 2013. Cet acte de violence contre un membre de la presse a été comdamné par l’Association Nationale des Medias Haitiens (ANMH). Pour plus de details klike la: http://signalfmhaiti.com/index.php/124-note-de-presse/512-l-anmh-condamne-l-agression-contre-tele-ginen et klike la: http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article9563 

Bien que nous condamnons cette attitude violente de Jean Bertrand Aristide et de ses partisans de Fanmi Lavalas nous n'affirmons pas qu'il est coupable ou innocent dans cette affaire. C'est a la justice haïtienne d'identifier les coupables. Rappelons que Jean Betrand Aristide pendant la periode de 2000-04 figurait parmi les 38 présidents considérés comme prédateurs de la presse a travers le monde. Pour plus de détails sur la repression du gouvernement de Jean Bertrand Aristide et de son parti Fanmi Lavalas sur les journalistes et la presse haitienne en général durant cette periode consultez les deux liens suivants:
2.  RNDDH: https://groups.google.com/forum/#!msg/forumculturel/7SUTcCf81Uk/-SQHEBYn7IoJ Pendant cette période Haiti était 169em au classement mondial sur la liberté de la presse comparativement a aujourd'hui 2013 ou le pays est classe 49em. 

Le Sénateur de la république d'Haiti Irvelt Chery avait aussi a l'époque écrit une lettre aux différents commissaires du gouvernement pour leur demander de mettre l'action publique en mouvement pour les différents crimes commis. Pour plus de détails klike la: http://www.haitian-truth.org/28-fevrier-2004-1013-neuf-ans-apres-la-demission-du-dictateur-jean-betrand-aristide-toujours-pas-de-justice-pour-les-victimes-de-la-repression-lavalas/

Nous souhaitons finalement que la justice haïtienne trouvera et punira les coupables qui ont assassines les journalistes haïtiens Jean Dominique, Brignol Lindor, Jacques Roche et Georges Honorat et ne cédera pas aux menaces des anarchistes.